Réaffirmer le droit à l’utopie des jeunes, d’autant plus que le monde est en crise, voilà un des messages clés de BruXitizen.

« Ce ne sont pas les intelligences qui manquent, ce ne sont pas les talents, ce ne sont pas les grandes aptitudes ; ce qui manque, c’est l’impulsion sympathique, c’est l’encouragement enthousiaste d’un grand gouvernement ». Victor Hugo en 1848. Le débat a-t-il changé ?

Après trois jours et plus de 50 ateliers, conférences, tables rondes ou parcours agrémentés de belles soirées de fête, BruXitizen a fermée ses portes, le samedi 24 novembre. Ce festival, organisé par l’Agence Alter, avait pour ambition de permettre aux jeunes de 18 à 35 ans de s’informer, se rencontrer, débattre et, pourquoi pas, faire émerger ou concrétiser leur projet citoyen. Au cours de BruXitizen, les participants ont eu l’occasion de faire de vraies rencontres avec des élus, des décideurs, des acteurs clés de l’innovation sociale, des experts de premier plan. Le tout au coeur de la capitale.
Pour certains – une petite quinzaine inscrits au « parcours média » – ce festival a aussi été l’occasion de se familiariser avec le journalisme, sous sa forme écrite, audiovisuelle ou multimédia, en couvrant l’événement. Le tout au moyen du Bruxiblog, de Twitter et de Facebook.
Pendant ces trois jours, ils ont vécu au rythme des réunions de rédaction, des interviews, des reportages et des fameuses « deadlines », sous la supervision de trois journalistes de l’Agence Alter.

Les situations d’endettement énergétique sont de plus en plus courantes en Belgique. Responsables : la mauvaise qualité des logements et des appareils de chauffe.

Les quatre tours Florair, gérées par le Foyer jettois, vont enfin être rénovées « basse énergie » sans déplacer les locataires.

A Bruxelles et en Wallonie, des associations accompagnent des jeunes filles à devenir mères tout en restant ados.

La Ferme Delsamme a fait du maraîchage bio son cheval de bataille en tant qu’entreprise de formation par le travail.

Jusqu’au 31 mars, les dispositifs hivernaux sont renforcés pour accueillir les sans-abri la nuit. Quid du jour ?

Les plans hiver ou « grand froid » démarrent, mois de novembre oblige. Des consultations médicales supplémentaires sont mises sur pied.

La crise de l’accueil des demandeurs d’asile va-t-elle encore engendrer son lot de sans-abri ?

Interview de Bernard De Vos sur le dessaisissement, les Mena et l’école

Faciliter des collaborations entre économie sociale et économie « classique » est un des défis de l’alliance emploi-environnement bruxelloise. Deux grappes mixtesd’entreprises ont été créées à cet effet.