Alter Échosr
Regard critique · Justice sociale
L'image

Les « enfants parqués »

Faute de places en maison d’accueil, des mineurs sont confiés à l’hôpital, parfois pendant des mois. On les appelle des « enfants parqués ». Un séjour non sans conséquence sur leur développement, le milieu hospitalier n’étant pas un lieu [...]

Focales

Des briques et des liens

Loger économiquement et écologiquement un maximum de familles précarisées, créer du lien entre elles et sensibiliser la société pour qu’elle soit plus solidaire. Les missions d’Habitat et Humanisme, ce n’est rien de moins que cela. Un texte de Pascale [...]

Edito

Si c’est le PNUD qui le dit…

Dans son rapport sur le développement humain de 2019, le Programme des nations unies pour le développement (PNUD) note que la « vague de manifestations qui déferle actuellement sur le monde » aurait un seul dénominateur commun : les inégalités. Mais ce qui frappe le plus, c’est que les politiques que le rapport suggère de mettre en place font écho aux revendications portées par les milliers de manifestants ayant battu le pavé en 2019.

Social

Loverboys : les liaisons dangereuses

Les loverboys, des prédateurs sexuels, recrutent leurs victimes, adultes comme mineures, pour les enrôler par la séduction dans la prostitution. Leur cible: des jeunes filles vulnérables belges mais aussi étrangères. Si le phénomène est particulièrement suivi en Flandre, la sensibilisation est bien moindre côté francophone.

Santé

« Il m’a détruite psychologiquement »

Les loverboys sont des jeunes hommes qui prostituent leurs petites amies au moyen de pressions psychologiques. Alter Echos consacre dans son dernier numéro une vaste enquête à ce phénomène. Pascale a été victime d’un loverboy au début des années 90. Si le terme n’existait pas encore – il apparaît aux Pays-Bas en 1995, ce recrutement par la séduction était déjà bien réel…

Dossier

Enfants : parents pauvres du social ?

On vous voit venir, chers lecteurs. Vous vous dites: «Non mais encore des articles sur la pauvreté infantile, y en a ras la casquette!» Ou quelque chose dans ce goût-là. Et c’est vrai qu’il faut bien admettre qu’on en a eu notre dose, de la pauvreté infantile, ces derniers temps. Mais justement, Alter Échos, à la pointe des questions sociales, ne pouvait pas esquiver cet enjeu de société, malgré son côté «rabâché». Tout en n’oubliant pas d’y apporter son expertise, en multipliant les regards. Voici le sommaire du dossier qu’il a consacré à cette thématique dans son numéro 479.

Petite enfance / Jeunesse

« En dix ans, les plus fragiles se sont encore fragilisés »

Bernard De Vos, délégué général aux Droits de l’enfant. Anne-Catherine Guio, économiste. Deux regards complémentaires sur la pauvreté infantile.

Petite enfance / Jeunesse

Crèches : un levier sous-exploité contre la précarité

À Bruxelles, seuls trois enfants sur dix fréquentent une crèche. Les plus précarisés, généralement, n’y ont pas accès.

Petite enfance / Jeunesse

Pauvreté infantile: jeter le bébé avec l’eau du bain?

La pauvreté des enfants est très pratique pour mobiliser les émotions et les dons. Mais ne sert-elle pas à déresponsabiliser la société et à culpabiliser (un peu plus) les parents? Aujourd’hui, plusieurs travailleurs du secteur de lutte contre la pauvreté refusent d’utiliser les termes «pauvreté infantile».

Petite enfance / Jeunesse

Polo, un lapin qui réduit l’écart scolaire

À Péruwelz, cela fait dix ans que l’on tente de réduire l’écart d’apprentissage du langage entre les enfants issus de milieux défavorisés et les autres.

Petite enfance / Jeunesse

Une tartine dans le cartable ou une activité extrascolaire ?

Garderie, école de devoirs, activité culturelle le mercredi après-midi, club sportif le week-end, stage de vacances… Un monde après l’école, celui de l’extrascolaire. La plupart des enfants issus de milieux précarisés n’y ont pas accès.

Social

24 heures avec… Adrien Godefroid, informaticien public

Il y avait les écrivains publics. Une asbl bruxelloise a inventé les «informaticiens publics». Armés de leur laptop, ils se déplacent en différents endroits de la capitale à la rencontre de publics vivant la fracture numérique au quotidien. Alter Échos a suivi l’un d’eux, Adrien, dans sa tournée.