Alter Échosr
Regard critique · Justice sociale
Alter Échos 

Alter Échos 

À côté de la plaque

Ouverte en 2018, la salle de consommation de drogues à moindre risque de Liège a fait figure de pionnière en Belgique. Elle est pourtant aujourd’hui la cible d’attaques répétées de la part du MR. En jeu: l’absence supposée d’effets de celle que l’on appelle aussi Såf Ti sur la consommation de rue ou l’insécurité. Alors que les élections communales se profilent, Willy Demeyer, le bourgmestre de la Cité ardente, parviendra-t-il à sauver son «bébé»?

20-03-2024

Liège, une ville assiégée

Ouverte en 2018, la salle de consommation de drogues à moindre risque de Liège a fait figure de pionnière en Belgique. Elle est pourtant aujourd’hui la cible d’attaques répétées de la part du MR. En jeu: l’absence supposée d’effets de celle que l’on appelle aussi Såf Ti sur la consommation de rue ou l’insécurité. Alors que les élections communales se profilent, Willy Demeyer, le bourgmestre de la Cité ardente, parviendra-t-il à sauver son «bébé»?

20-03-2024

«Il nous a chié sur la tête»

Ouverte en 2018, la salle de consommation de drogues à moindre risque de Liège a fait figure de pionnière en Belgique. Elle est pourtant aujourd’hui la cible d’attaques répétées de la part du MR. En jeu: l’absence supposée d’effets de celle que l’on appelle aussi Såf Ti sur la consommation de rue ou l’insécurité. Alors que les élections communales se profilent, Willy Demeyer, le bourgmestre de la Cité ardente, parviendra-t-il à sauver son «bébé»?

20-03-2024

Sur la sellette

Ouverte en 2018, la salle de consommation de drogues à moindre risque de Liège a fait figure de pionnière en Belgique. Elle est pourtant aujourd’hui la cible d’attaques répétées de la part du MR. En jeu: l’absence supposée d’effets de celle que l’on appelle aussi Såf Ti sur la consommation de rue ou l’insécurité. Alors que les élections communales se profilent, Willy Demeyer, le bourgmestre de la Cité ardente, parviendra-t-il à sauver son «bébé»?

20-03-2024

50 nuances de néolibéralisme

On connaît la rengaine: ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement. Il en va de la poésie comme de la politique. À ce propos, la notion de néolibéralisme offre des interprétations diverses, voire contrariées. Tout le monde en parle, [...]

Après la marche, le marathon

Dans l’édito de son numéro précédent, paru fin janvier, Alter Échos conviait Milan Kundera et son essai philoso-fictif intitulé «La lenteur». Dans celui-ci, l’auteur tchèque se figure un marcheur qui, souhaitant se rappeler quelque chose, ralentirait son pas…

Les invisibles des invisibles

Le Collectif Entre2eux, composé d’étudiantes et étudiants en Master à l’IHECS, est allé, pendant plusieurs semaines, à la rencontre de femmes qui venaient rendre visite à un proche en prison. Leurs récits sont individuels, mais on y retrouve des points communs, des similitudes. Ensemble, ces voix forment un récit collectif. L’ensemble est anonyme, une condition indispensable à la libération de la parole.

Vingt mille grèves sous les ordonnances judiciaires

Lors du long conflit social de la franchisation de 128 magasins Delhaize, les syndicats se sont noyés dans un puits sans fond d’interdictions de piquets de grève. Pourquoi des actions collectives acceptées il y a plusieurs décennies sont-elles aujourd’hui judiciarisées?

Violences sexuelles, entre ados aussi

Depuis le mouvement #MeToo, la parole s’est libérée en matière de violences sexuelles. Pourtant, une réalité semble rester taboue : les agressions sexuelles commises par des mineurs. Les chiffres font pourtant état d’un phénomène d’envergure. Si la protection des victimes reste primordiale, plusieurs structures d’Aide à la jeunesse et de la Santé en Belgique proposent un suivi thérapeutique pour les auteurs adolescents afin d’éviter la récidive.

Après le séisme, la réplique des citoyens

Un an après le tremblement de terre qui a frappé la Turquie et la Syrie, les habitants du Hatay, région turque la plus durement touchée, font face aux carences de l’État avec solidarité et résilience.

L’autisme au féminin : où sont les femmes ?

Depuis les premières études sur le trouble, l’autisme est considéré comme un trouble majoritairement masculin avec une prévalence d’une fille pour quatre garçons.
Avec l’avancée de la recherche sur l’autisme au féminin, les chercheuses Marielle Weyland et Marie Belenger interrogent ces chiffres en statuant sur de possibles biais de genre au sein de la prise en charge et du diagnostic de ce trouble.

Les liens du sang

On croyait que c’était dans l’encre, mais, à la lecture du dossier, vous serez bien obligé(e)s de constater qu’un article bien trempé peut l’être dans le sang des autres. Pas de ce sang qui fait la une de la [...]