Julie Luong
Dormir au bureau
Personnes à la rue et bâtiments vides: c’est de ce paradoxe brutal que sont nés en 2019 Les Bureaux du Cœur. En proposant aux entreprises de faire de leurs locaux des foyers d’accueil provisoire, l’association, présente dans 25 villes de France, entend lutter contre le gaspillage immobilier.
Joueurs compulsifs, les grands perdants
Toujours plus banalisés, les jeux d’argent prospèrent sur le dos des joueurs compulsifs, soit environ 6% des joueurs. Pour ces malades du jeu, les groupes de parole, sur le modèle des Alcooliques anonymes, ouvrent une voie vers le rétablissement.
Hep taxiwoman!
Faire monter des inconnus dans sa cinq portes allemande, c’est son métier. Joëlle*, 55 ans, ancienne commerciale, est l’une des rares taxiwomen de Wallonie. Le temps d’une course, Alter Échos s’est assis sur le siège passager.
Un automne jaune
À l’automne 2018, une colère jaune au cœur, des citoyens se rassemblent sur les ronds-points. Marre de se saigner aux quatre veines pour une vie sous haute tension. La répression sera féroce. En Belgique, le contexte institutionnel et syndical participe à affaiblir le mouvement. Mais près de six ans plus tard, le feu de la révolte n’est pas éteint.
Escroqueries en ligne, une criminalité à la frontière du réel
Trouver la faille. Désactiver l’alarme. Effacer les traces. Sans cagoule, sans flingue, sans mains derrière la tête. À l’heure où les vies se numérisent dans leurs moindres recoins, la criminalité se métamorphose. Les escroqueries en ligne prennent le pas sur les vols ; la manipulation psychologique sur la violence physique. Toujours plus sophistiquées, elles creusent les vulnérabilités et brouillent jusqu’à la paranoïa la frontière du réel.
La quadruple peine des drépanocytaires
Avoir une maladie méconnue, ne pas oser le dire, souffrir de douleurs invisibles, être Noir: c’est la quadruple peine des patients atteints de drépanocytose. Caractérisée par une anomalie des globules rouges, cette maladie génétique – la plus répandue en Belgique – touche principalement les afrodescendants. Et révèle la persistance de malentendus culturels et de biais racistes dans les soins de santé.
Dimension invisible
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
Liberté d’expression
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
Vers le rétablissement
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
«Une réalité élastique»
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
Jeu de miroirs
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.
Des voix au-dedans de soi
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la fin des années 80, le Mouvement des entendeurs de voix propose une approche novatrice basée sur l’acceptation des voix. En Wallonie et à Bruxelles, ces groupes d’entraide existent depuis une dizaine d’années. Ils s’inscrivent dans la philosophie du rétablissement, qui replace l’expérience subjective au cœur du soin.