Alter Échosr
Regard critique · Justice sociale

Vie associative

Tillieux met les procédures administratives au régime

Bonne nouvelle pour les acteurs de l’Action sociale et de la santé en Région wallonne. Procédures d’octroi et de contrôle des subventions seront allégées.

21-03-2014

Les travailleurs sociaux doivent-ils craindre l'évaluation ?

L’évaluation s’est imposée dans tous les segments de la société. Les travailleurs sociaux n’y échappent pas. Paul Lodewick et David Laloy enseignent à la Haute école Louvain en Hainaut (Helha) et travaillent pour le nouveau Centre de ressources pour le social (Cerso), qui coordonne formation continue et activités de recherche. Ils analysent pour nous les tensions et les paradoxes de l’évaluation du travail social.

Bon gré mal gré, l’ambulatoire bruxellois s’autoévalue

Depuis 2009, chaque service des secteurs de l’ambulatoire bruxellois est tenu de mettre en œuvre une « démarche d’évaluation qualitative ». La première salve de DEQ vient d’être menée à terme. Les associations se sont-elles appropriées cette démarche ou la traînent-elles comme un boulet ?

D’un pacte à la charte associative : un aller… Et retour ?

Charte associative : les engagements des pouvoirs publics promis à mise en œuvre sous la prochaine législature. Avec quels accents ? Et quelles implications pour les pouvoirslocaux ?

La Charte associative, maintenant à un train de députés

Les gouvernements en ont fini avec la Charte associative, censée cadrer les rapports entre politique, administration et associatif. C’est maintenant aux parlements concernés de joueret de régler les quelques nœuds qui subsistent.

D’un pacte associatif pour fin 2006 à une charte associative pour fin 2008

Le secteur associatif est décidément à l’honneur en ce moment. Après l’enquête de la Fondation Roi Baudouin sur le poids économique del’associatif (cf. AÉchos n° 252), la vaste consultation sur la bonne gouvernance de l’associatif réalisée par la Fondation Excellence for nonprofit (cf. dans ce n° Excellence for non profit’ analyse le fonctionnement des asbl et fondations : une démarche impartiale ?), voici enfin, après une longue gestation, cellequ’on n’attendait plus : la charte associative.

Charte associative : la reprise

Le processus d’élaboration d’un pacte associatif – désormais renommé « Charte » – était mis en veilleuse depuis le mois de février, dansla perspective des élections et négociations fédérales. Après huit mois d’arrêt, la machine serait désormais remise en branle, à partir d’untexte co-rédigé par des membres de cabinets socialistes et l’IEV (Institut Émile Vandervelde, centre d’études du PS).

Pacte associatif à l'heure locale

Alors que le processus de confection d’un pacte associatif – désormais rebaptisé « Charte associative » pour marquer son aspect unilatéral – restelargement dans les coulisses des gouvernements concernés (Région wallonne, Communauté française et Cocof) depuis près de six mois. Un colloque organisé parl’Institut Jules Destrée, ce 16 mai, à l’initiative de la ministre-Présidente de la Communauté française, Marie Arena (PS), a tenté de relancer ledébat, en le portant sur le plan local.

Pacte associatif : l’enjeu local

Dans le débat public tel qu’il a pu émerger à Bruxelles et en Wallonie, le pacte associatif a d’abord été tpensé comme un objectif àréaliser sur le plan communautaire et régional1. C’est notamment sur la base de la consultation des acteurs que l’échelon local a émergé comme un desaxes majeurs de sa mise en œuvre, voire une des conditions de sa réussite. S’il existe encore peu d’exemples très concrets de version locale d’un pacte associatif en tant que tel,on compte déjà beaucoup de réflexions et de balises théoriques posées pour une future mise en œuvre à cet échelon.

Pacte associatif : le PS propose un engagement unilatéral préalable

Après un après-midi de prises de positions, le 10 juillet, autour du concept de pacte associatif, les associations participantes attendaient la prochaine étape. Celle-ci, leuravait-on dit, devait consister dans des « tables rondes » autour desquelles seraient abordées des questions sensibles telles que la représentation du monde associatif, lacomplémentarité dans les missions de service à la collectivité, le caractère unilatéral ou non du pacte, voire la pertinence du terme « pacte »lui-même. Ces tables rondes sont bel et bien maintenues mais entre-temps, c’est une nouvelle étape qui a été annoncée. Le groupe socialiste du parlement de laCommunauté française diffusait en effet ce vendredi 1er septembre un communiqué de presse appelant à « définir rapidement une Charted’engagements pris, via les Parlements, par les partis démocratiques à l’égard du monde associatif. »

Pacte associatif : quelles relations entre associations et service public ?

Les grands principes qui président à l’élaboration du pacte associatif (autonomie des associations, complémentarité et dialogue avec les services publics,contractualisation, esprit de service public, égalité d’accès des utilisateurs) devront trouver à s’appliquer dans des dispositifs qui les respectent au mieux.À moins de faire table rase du passé, les acteurs de l’élaboration du pacte seront guidés, entre autres, par leur expérience des dispositifs existants.Comment ceux-ci permettent-ils de rencontrer les grands enjeux de l’articulation des rapports entre pouvoirs publics et associations  » de service  » ? Comment certaines pratiques -qu’aucune règle ne commande – assurent-elles néanmoins souplesse et fluidité à ces rapports ? En quoi ces dispositifs et pratiques sont-ils susceptiblesd’inspirer le pacte associatif ? À la recherche de quelques balises dans des secteurs de la compétence de la Région wallonne et de la Communautéfrançaise.