
4 avril 2018
Les démarches visant à démasquer les unions de complaisance, aussi appelées mariages «blancs» et «gris», sont sans cesse renforcées. Mais tendre l’oreille en direction des acteurs de terrain permet de réaliser que, dans le sillage des contrôles, les pratiques musclées et incohérentes sont légion. Pour beaucoup de couples binationaux, se dire «oui» est un réel parcours du combattant.