Martine Vandemeulebroucke
«Métiers en pénurie? Les entreprises ont un rôle clé à jouer et nous allons les aider»
La nouvelle administratrice générale du Forem aime les chiffres. Elle jongle avec eux pour argumenter, convaincre. Pour Raymonde Yerna, le Forem, cette grosse boîte de près de quatre mille agents, peut et doit relever les nombreux défis qui se posent pour augmenter le taux d’emploi. L’ex-patronne de l’Ifapme (Institut de formation des classes moyennes) mise sur le partenariat associatif, syndical, mais n’exclut pas les entreprises de leurs responsabilités pour s’attaquer aux métiers en pénurie.
Le blues des élus
Le compte à rebours a commencé pour les élus locaux. Dans quelques mois, il va falloir ressortir pots de colle et affiches. Mais tous ne sont pas prêts à se relancer dans l’aventure et dans beaucoup de communes, les candidats et surtout les candidates manquent à l’appel. La démocratie communale en panne?
Une salle agréable, des animateurs empathiques et du café
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
Vivre malgré tout
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
La honte
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
La peur
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
La fatigue
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
Perdu comme le Petit Chaperon Rouge
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
Un lieu de paroles, d’échanges d’expériences
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
Alzheimer Cafés : Ne pas perdre le fil
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
Alzheimer Cafés : Ne pas perdre le fil
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante [...]
Trois femmes puissantes
C’est une (r)évolution palpable et réjouissante : les femmes sont aux manettes de nombreuses associations et mouvements. Elles peuvent, à ces postes, insuffler des bonnes pratiques, mettre en valeur les travailleuses, changer concrètement les manières de penser. Rencontre avec Sylvie Pinchart, directrice de Lire et Écrire, Sarah de Liamchine, codirectrice de Présence et Action culturelles et présidente Solidaris Wallonie chez Solidaris, et Ariane Dierickx, directrice de L’Îlot