Alter Échosr
Regard critique · Justice sociale
Marie-Eve Merckx

Marie-Eve Merckx

Soirée « Alter Médialab » journalisme citoyen « Espace public : de l’autre côté du trottoir »

Soyez cordialement invité.e.s !! Le Jeudi 20 janvier 2022 de 17h à 21h au DK @Saint-Gilles l’Alter Médialab, laboratoire de journalisme citoyen de l’Agence Alter présente « Espace public : de l’autre côté du trottoir » Un journal, des photos & une émission radio réalisées en partenariat avec DUNE [...]
Actus d'Alter 13-01-2022

Logement à Bruxelles : la crise à tous les étages

Les circonstances que nous connaissons tous ont rappelé avec acuité que le droit à un logement digne n’est pas acquis. À Bruxelles, la crise sanitaire a exacerbé la crise du logement et, à travers elle, les situations de mal-logement [...]

Grève au Parvis, (nouvelle) lutte des classes contemporaine ?

Place publique stratégique de la commune de Saint-Gilles à Bruxelles, le Parvis incarnait depuis des lustres le brassage entre des publics hétéroclites. Depuis quelque temps, le Covid aidant, la situation s’est détériorée. À tel point que les commerçants ont entrepris une action de grève pour dénoncer l’insécurité croissante et les comportements ingérables de «certaines» personnes à la marge de notre société de consommation.

Convivialité et vie trépidante des objets

Espace populaire qui mélange les publics, crée du lien et des échanges codés et non codés autour d’une pratique ancestrale? Bon sang, mais c’est bien sûr, pour étoffer notre inventaire, il nous fallait, pour la rentrée, mettre les pieds dans cet endroit de brassage: la brocante de quartier.

Soirée-débat autour des « émeutes »de Forest à la librairie Par Chemins le 24 juin prochain

Le jeudi 24 juin à partir de 18h30, soyez les bienvenu.e.s à une rencontre autour de l’histoire récente de Forest, et plus particulièrement du quartier Saint-Antoine dans le sillage de La révolte de Forest – 30 ans après : [...]

Social Bistreau – « Tournée wasserette et terrasse mouillée »

«À défaut de merles, on mange des grives.» Dans notre dernière chronique, nous avions entamé avec les gares une série inventaire des lieux publics où les gens peuvent encore se mélanger, avec les précautions d’usage. Puisque les bistrots étaient [...]

Gare fantôme, gare déshumanisée

Feu le social bistrot* se recycle en inventaire des lieux publics où le passage et le rassemblement contrôlés des individus sont encore possibles. Où de surprenantes interactions peuvent voir le jour. Où le mélange de genres opère encore. Première halte: les gares.

«Enfermés dehors»

Paradoxe affligeant: alors que nombre d’entre nous saturent d’avoir pour seul horizon les murs intérieurs de leurs maisons, une «société parallèle», constituée de migrants, de sans-papiers et autres âmes inc(l)as(s)ables, reste, elle, enfermée dehors. Hors toit, hors statut, hors radar, hors soins, hors tout. Covid ou pas.

Le bistrot est mort, vive le Social Bistrot !

Lieu d’émulsion sociale par excellence, l’objet de cette chronique s’est lui-même pris un sérieux coup dans l’aile ces derniers temps… De confinement en déconfinement, de fermeture à horaire variable en couvre-feu, cette gueule de bois infernale se transforme en indisponibilité pure et simple jusqu’à nouvel ordre. Laissant sur le carreau les humains qui les tiennent, ces endroits, mais aussi et surtout les humains qui les fréquentent. Rendons au bistrot ce qui appartient au bistrot avec une dernière déclaration… avant de passer à autre chose, pour une parenthèse encore imprévisible.

Au Faubourg Saint-Denis, quel temps de merde, dis !

Au Faubourg Saint-Denis, à Forêt, notre social bistrot continue son exploration des cafés de Bruxelles et bien au-delà. En cette rentrée estampillée « Covid », l’heure n’est pas des plus réjouissantes. 

« Basta Corona ! »

Ceci est un cri du cœur au cœur d’une période tumultueuse. Après le raz-de-marée Covid, les plus jeunes d’entre nous sortent à peine leur frimousse avec le retour à l’école, donc à une certaine forme de «normalité» avec des [...]

Post-Corona Dreamin(1) Chœur doux-amer pour le «monde d’après»

Comment (se) rêver, se projeter dans un futur aux contours incertains, voire inquiétants? Comment réfléchir à des images-fantasmes qui habiteraient nos réalités sans tomber dans les clichés? Oscillation entre désenchantement et espoir effréné, la vie d’avant et la vie d’après seront-elles finalement si différentes? Tentatives de réponses teintées de grande prudence.