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Regard critique · Justice sociale

Social Bistrot

Social Bistreau – « Tournée wasserette et terrasse mouillée »

© Garance Clavère-Fournier

«À défaut de merles, on mange des grives.» Dans notre dernière chronique, nous avions entamé avec les gares une série inventaire des lieux publics où les gens peuvent encore se mélanger, avec les précautions d’usage. Puisque les bistrots étaient jusqu’à nouvel ordre fermés. À l’instar de cette météo printanière pleine de surprises, nos hautes autorités ont entre-temps décrété la réouverture des terrasses. Alors que nous escomptions explorer les wasserettes. Qu’à cela ne tienne, un pont s’est formé entre les deux sujets. Direction la terrasse d’un bistrot qui donne sur l’une de ces laveries.
Pour une immersion directe dans l’élément phare au cœur de notre sujet, le liquide, ce samedi est placé sous le signe de la fameuse drache nationale. «Rien que de l’eau, de l’eau de pluie, de l’eau de là-haut», comme disait la chanteuse1. Rincées à l’arrivée nous sommes, avec ma nouvelle complice illustratrice Garance, munie qui plus est de ses aquarelles. Nous filons le thème, c’est raccord.
La terrasse choisie comme poste d’observation des allées et venues dans le lavomatique du trottoir d’en face est vaste mais clairsemée. Seuls quelques valeureux Gaulois ont enfilé leur meilleur pardessus amphibie pour venir prendre l’apéro. Pour attraper au vol les conversations de bistrot bigarrées dont nous sommes friandes, ça ne va pas être jojo.
«C’est un drôle de temps, mais il faut faire avec!», d...

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«À défaut de merles, on mange des grives.» Dans notre dernière chronique, nous avions entamé avec les gares une série inventaire des lieux publics où les gens peuvent encore se mélanger, avec les précautions d’usage. Puisque les bistrots étaient jusqu’à nouvel ordre fermés. À l’instar de cette météo printanière pleine de surprises, nos hautes autorités ont entre-temps décrété la réouverture des terrasses. Alors que nous escomptions explorer les wasserettes. Qu’à cela ne tienne, un pont s’est formé entre les deux sujets. Direction la terrasse d’un bistrot qui donne sur l’une de ces laveries.
Pour une immersion directe dans l’élément phare au cœur de notre sujet, le liquide, ce samedi est placé sous le signe de la fameuse drache nationale. «Rien que de l’eau, de l’eau de pluie, de l’eau de là-haut», comme disait la chanteuse1. Rincées à l’arrivée nous sommes, avec ma nouvelle complice illustratrice Garance, munie qui plus est de ses aquarelles. Nous filons le thème, c’est raccord.
La terrasse choisie comme poste d’observation des allées et venues dans le lavomatique du trottoir d’en face est vaste mais clairsemée. Seuls quelques valeureux Gaulois ont enfilé leur meilleur pardessus amphibie pour venir prendre l’apéro. Pour attraper au vol les conversations de bistrot bigarrées dont nous sommes friandes, ça ne va pas être jojo.
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Marie-Eve Merckx

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