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Regard critique · Justice sociale

#Cocof

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Alphabétisation : portrait du secteur

De multiples organismes s’occupent d’alphabétisation, avec une diversité d’objectifs et d’approches. La volonté politique de parvenir à unecoordination des actions a conduit à la création d’un Comité de pilotage de l’alphabétisation qui comprend des interlocuteurs de la Communautéfrançaise et des Régions wallonne et bruxelloise via la Cocof. La revue Faits & gestes1 se fait l’écho des premiers travaux réalisés parce Comité de pilotage et intègre également une enquête de Lire et Écrire.

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IFAPME et désir d'alternance

L’Institut wallon de formation en alternance et des indépendants et petites et moyennes entreprises (IFAPME)1 lance une campagne de communication à destination des jeuneset des entreprises. But de l’opération : rendre la filière attractive aux yeux d’étudiants potentiels et inciter les entrepreneurs à accueillir ces derniers dans le cadredu processus de formation. Une démarche dont les objectifs ne sont pas sans rappeler ceux d’un projet d’uniformisation du statut des jeunes suivant une formation en alternance, actuellement ennégociation entre la Région Wallonne, la Cocof et la Communauté française…

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D’un pacte associatif pour fin 2006 à une charte associative pour fin 2008

Le secteur associatif est décidément à l’honneur en ce moment. Après l’enquête de la Fondation Roi Baudouin sur le poids économique del’associatif (cf. AÉchos n° 252), la vaste consultation sur la bonne gouvernance de l’associatif réalisée par la Fondation Excellence for nonprofit (cf. dans ce n° Excellence for non profit’ analyse le fonctionnement des asbl et fondations : une démarche impartiale ?), voici enfin, après une longue gestation, cellequ’on n’attendait plus : la charte associative.

Cohésion sociale à Bruxelles : première évaluation du nouveau décret

La première évaluation1 de l’application du décret « cohésion sociale » a été menée par un processus en cascade, nousexplique Alexandre Ansay2, coordinateur du Centre régional d’appui à la cohésion sociale (Cracs), logé au sein du CBAI. Au départ des rapportsannuels 2006 des associations subsidiées par le décret, les 13 coordinations locales ont réalisé chacune un rapport de synthèse, au nombre desquels s’estajouté le rapport des services du Collège de la Cocof concernant les projets de nature régionale. Le Cracs s’est basé sur ces 14 rapports ainsi que sur sesparticipations aux réunions des coordinations locales et de la section cohésion sociale du conseil consultatif pour rédiger son premier rapport d’évaluation.Celui-ci a alors fait l’objet d’un colloque, en novembre dernier, en présence du ministre de tutelle, Charles Picqué.

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La Commission nationale des droits de l'enfant émerge

Suggérée par Genève, elle était attendue depuis longtemps. Quasiment dix ans que le chantier est ouvert. Elle vient de tenir sa première réunion. LaCommission nationale des droits de l’enfant sort de terre1.

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Pacte associatif : le PS propose un engagement unilatéral préalable

Après un après-midi de prises de positions, le 10 juillet, autour du concept de pacte associatif, les associations participantes attendaient la prochaine étape. Celle-ci, leuravait-on dit, devait consister dans des « tables rondes » autour desquelles seraient abordées des questions sensibles telles que la représentation du monde associatif, lacomplémentarité dans les missions de service à la collectivité, le caractère unilatéral ou non du pacte, voire la pertinence du terme « pacte »lui-même. Ces tables rondes sont bel et bien maintenues mais entre-temps, c’est une nouvelle étape qui a été annoncée. Le groupe socialiste du parlement de laCommunauté française diffusait en effet ce vendredi 1er septembre un communiqué de presse appelant à « définir rapidement une Charted’engagements pris, via les Parlements, par les partis démocratiques à l’égard du monde associatif. »

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Un « lieu unique de définition des métiers » demandent les interlocuteurs sociaux wallons

La réforme de la Commission communautaire des professions et des qualifications (CCPQ) est un des gros chantiers de cette législature. Les travaux de cette instance ne seront plusseulement destinés à l’enseignement qualifiant mais désormais également applicables à l’ensemble des opérateurs de formation.

La validation des compétences renforcée

Ce 27 mars, se sont réunis les gouvernements francophones. Le gouvernement de la Communauté française, celui de la Région wallonne et le Collège de la Commissioncommunautaire française (Cocof) ont à cette occasion travaillé en commun sur différents thèmes. Parmi ceux-ci, la validation des compétences.

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Un projet de loi pour permettre aux communes de poursuivre les petites infractions

À l’heure où la Cocof semble vouloir accélérer son avant-projet de décret sur l’action communautaire de quartier (actuels programmes cohabitationintégration) et où le gouvernement wallon planche sur son « plan Zen » (actuels PSI, Plans sociaux intégrés), le conseil des ministres fédéral aadopté, le 20 décembre, un projet de loi visant à permettre aux communes de poursuivre les petits délits, ces faits à la source du sentimentd’insécurité que connaissent la plupart des grandes villes. Présenté par le ministre des Grandes Villes, Charles Picqué1, le ministre de l’Intérieur, AntoineDuquesne, et le ministre de la Justice, Marc Verwilghen, « l’objectif est à la fois de réprimer effectivement ces incivilités, ainsi qu’un certain nombre decomportements qui sont encore exclusivement du ressort de la loi pénale et de les sanctionner également d’une façon administrative. Le présent projet vise, tout engarantissant pleinement l’exercice des droits de la défense, à éviter que ne se perpétue un climat d’impunité qui serait profondémentpréjudiciable à tous », argumente l’exposé des motifs.

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Écoles techniques bruxelloises : un fonds et une interpellation

Dans une circulaire datée du 15 janvier dernier, le ministre de l’Enseignement secondaire, Pierre Hazette1, a fait parvenir aux écoles bruxelloises « lesinformations nécessaires à l’introduction de leurs projets relatifs à la modernisation de l’équipement pédagogique de base des sections techniques etprofessionnelles », CEFA compris. Comme nous l’avons expliqué à diverses reprises, il s’agit là pour la Communauté française de combler le retard pris par lesécoles situées en Région bruxelloise par rapport à celles qui se trouvent en Wallonie. Ces dernières ont pu bénéficier des subsides octroyéspar un fonds de rééquipement alimenté essentiellement par la Région wallonne mais aussi par la CFWB. Cette dernière se devait donc d’investir dans lematériel des écoles techniques à Bruxelles au prorata de ce qu’elle avait dépensé en Wallonie, soit 1 719 846 euros sur trois ans.

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Dream crée des liens entre le monde professionnel et l’école

Le 20 mars, c’était la journée Dream ou « Dream Day ». Le constat est là, implacable : la plupart des jeunes terminant leurs études secondaires nesavent quelle orientation donner à leur avenir ! L’Ichec-PME est à l’origine de cette initiative qui existe depuis cinq ans. Elle s’est, petit à petit,affinée pour répondre davantage aux besoins et aux volontés des jeunes en fin de scolarité secondaire. Sur l’ensemble de la Belgique, ce sont plus de 600 «témoins » qui ont ainsi reçu la visite de 9 300 élèves, issus de tous les niveaux d’enseignement secondaire.

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Des organismes culturels bruxellois face au choix d’une communauté

Constatant un écart entre « les réalités bruxelloises » en matière d’enseignement et de culture notamment, et le fonctionnement bicommunautaire desinstitutions belges, plusieurs personnes sensibles à la problématique ont mis au point un manifeste bruxellois. Il s’agit de dénoncer « le dangerd’idéologies qui enrégimentent les gens dans une appartenance et ne se construisent pas sur une base de diversité ». Le fonctionnement bruxellois imposerait auxorganismes comme aux particuliers de « choisir leur communauté ». Le Manifeste est ainsi proposé à la signature d’associations comme departiculiers1. Quelque 600 signatures ont été engrangées. Cependant, le nombre de signataires associatifs ou collectifs reste limité : treize actuellement.Alain Maskens, porte-parole francophone pour le manifeste, met en avant la frilosité de certains qui se trouvent en processus de demande de subvention auprès des autoritéssecouées par le manifeste et souhaitent éviter les risques.