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Regard critique · Justice sociale

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Divercity : « La population LGBT est demandeuse de plus de visibilité »

Divercity, c’est un projet de recherche européen qui vise à combattre l’homophobie et la transphobie. L’ULB a choisi de faire un focus sur Charleroi. Entretien avec Isabelle Carles, chargée de cette recherche. Alter Echos : Divercity a abordé la question de l’homophobie et de la transphobie dans les petites [...]
03-08-2018

Innovation: à quand le «juste» prix?

Greentic, ImpulCera, Zenobe, Egaltitude, WB Health… Autant de prix lancés ces dernières années en Wallonie et à Bruxelles pour soutenir l’innovation, autant de prix qui ont disparu aujourd’hui.

Budgets participatifs: la Wallonie peut mieux faire

Si des initiatives existent, elles sont souvent cantonnées à des projets de quartier. Pourtant, certaines communes en appellent à plus d’audace dans la mise en place des budgets participatifs.

Coopératives: à la recherche d’un nouveau souffle en Wallonie

Le mouvement coopératif est à la traîne en Belgique par rapport à d’autres pays d’Europe. Un constat posé par le gouvernement wallon, qui a annoncé en juillet un train de mesures pour lui donner un nouveau souffle. Les acteurs de terrain se mobilisent, quant à eux, pour une meilleure reconnaissance du système.
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Prostitution: facile d’y entrer, difficile d’en sortir

Qu’elle soit vécue ou non comme un choix, la prostitution entraîne une disqualification sociale qui pèse lourdement sur les femmes et les maintient paradoxalement dans le métier. C’est ce que montre l’enquête exploratoire menée par l’Helmo et l’APES-ULg, réalisée sur la base d’entretiens avec des prostituées travaillant à Bruxelles et en Wallonie. Vous désirez lire notre revue ? Envoyez un mail avec «AE 428 + adresse postale » à mmx@alter.be

Des associations de femmes privées de leurs subsides

Début du mois de juillet, l’Institut pour l’Egalité des Hommes et des Femmes a annoncé ne plus pouvoir accorder de subsides ponctuels aux projets visant à promouvoir l’égalité hommes-femmes. Les associations sont en colère. Elles pointent la responsabilité du gouvernement mais certaines s’interrogent également sur la responsabilité de l’IEFH dans cette décision.

TEC : à mi-chemin de la privatisation?

À chaque grève, c’est le même couplet qui revient : ne faudrait-il pas privatiser les transports en commun wallons? En réalité, la moitié des lignes TEC sont déjà sous-traitées au privé. Et, avec ou sans grèves, l’Europe pousse à davantage de libéralisation dans le secteur.

«Gender budgeting», utile ou bling-bling?

Après le fédéral et la Cocof, la Fédération Wallonie-Bruxelles se met au gender budgeting ou «budgétisation sensible au genre». Un concept essentiel à l’égalité hommes-femmes qui peine encore à se traduire concrètement.

Peut-on tout acheter?

L’argent n’achète pas tout. Est-ce encore vrai? Depuis plus de 30 ans, le marché s’affranchit de toutes les contraintes. La marchandisation touche des sphères qu’on croyait interdites comme les valeurs morales et sociales. Quelles sont les limites à imposer aux relations marchandes? C’est le thème du livre passionnant du philosophe américain Michael Sandel, «Ce que l’argent ne saurait acheter»

La gratuité comme nouvel horizon politique

Contre l’idée souvent martelée que «la gratuité n’existe pas», des penseurs veulent la réintégrer dans le débat. Selon eux, la gratuité peut agir comme levier pour se libérer des contraintes de la société marchande.

Sécurité: au prix de nos libertés?

Paris puis Bruxelles. En Belgique comme ailleurs, les attentats terroristes occasionnent la prise de mesures pour assurer notre sécurité. Au risque d’empiéter sur nos droits fondamentaux? Analyse.

«École en colère» soutient les étudiants face aux CPAS

Un étudiant risque-t-il de perdre ses allocations d’insertion après une session d’examens de janvier ratée? Une pratique des CPAS, qui demandent aux étudiants de leur communiquer leurs notes dès le début de l’année dans le cadre du PIIS, suscite en tout cas des craintes dans le secteur de l’enseignement. Pour soutenir les étudiants face à cette pression latente, le collectif «École en colère» a lancé un débat public et interpellé les centres publics d’action sociale.