Pendant un an, Marie-Claude Chainaye, coordinatrice de projets au Réseau wallon de lutte contre la pauvreté, a rencontré des familles monoparentales précarisées à Bruxelles et en Wallonie. Au total, trois cents pages d’interviews qui révèlent beaucoup d’épreuves mais aussi un farouche désir de « sortir la tête de l’eau ».

Six mois, les deux tiers d’une grossesse. Voilà ce qu’aura duré notre série « La réforme du chômage pour les nuls », débutée en septembre 2013. Si ce n’était la crainte d’une subite dépression post-partum, nous serions tentés de pousser un « ouf » de soulagement. Car le travail a été ardu, pour une matière pourtant abordée en long et en large par la presse quotidienne.

Les années 90 ont vu éclore plusieurs humoristes issus de l’immigration qui sillonnent toujours nos scènes, faisant rire un large public, et ouvrant la voie à une nouvelle génération désireuse d’exprimer une appartenance à ses racines comme à la Belgique.

Miser sur la culture pour redynamiser les Abattoirs d’Anderlecht, tel est le défi de l’asbl Cultureghem. Son dernier projet : une cuisine mobile pour les ketjes du quartier.

Les bureaux d’accueil des primo-arrivants sont pratiquement à l’arrêt en Flandre. En cause : un logiciel défaillant !

L’énergie en voie de devenir un produit de luxe ?

Les familles monoparentales affolent les compteurs sociaux : risque de pauvreté accru de plus de 50 %, isolement, taux de chômage important, mauvaises conditions de logement. Le nombre de ces familles ne cesse d’augmenter parallèlement à celui des ruptures et des divorces. Mais les politiques sociales ne suivent pas.

La grève des SAJ et SPJ est considérée par le secteur comme une victoire. Une victoire au goût amer ? Certainement du côté de Verviers, là où le mouvement commença. Témoignage d’un délégué.

En Wallonie, un nouveau guichet unique permet à chacun de poser ses questions de santé liées à l’environnement.

Depuis quelque temps, on sent renaître certaines crispations en ce qui concerne l’accès à l’avortement, un peu partout en Europe. En Belgique aussi les enjeux sont nombreux.

Le nombre de ruptures est toujours plus important. Et avec lui, le nombre de familles qui risquent de tomber dans la pauvreté.

La désinstitutionnalisation des soins de santé mentale est une question qui est dans l’air du temps. Notamment depuis le lancement, en 2010, de la réforme des soins de santé mentale (projets « 107 »). Dispositif local d’insertion par la culture et service d’éducation permanente à l’attention de personnes fragilisées sur le plan psychique, l’asbl Revers défend depuis de nombreuses années l’idée selon laquelle prendre soin de personnes en souffrance nécessite la création d’espaces nouveaux. Des espaces qui se situent hors des champs purement médicaux. Pour son premier numéro, Focales, qui prend le relais du projet Labiso, a été à la rencontre de l’équipe et des participants de Revers.