#Belgique
L’emploi des immigrés : la Belgique épinglée par l’OCDE
Selon une étude de l’OCDE, les résultats affichés par la Belgique en matière d’intégration des immigrés et de leurs enfants sur le marché del’emploi sont peu brillants, en particulier pour les immigrés hors Union européenne et pour les femmes. Des « signes de discrimination sur le marché du travail »dénoncés par l’Organisation.
Se réinsérer pendant et après la prison : la puissance du témoignage
Entre 10 à 15 %, seulement, de la population carcérale a accès à des formations, 75 % des détenus déclarent, au mieux, avoir un diplôme de primaire.Deux chiffres qui suffisent, même s’ils n’expliquent pas tout, à entrevoir le parcours du combattant que peut représenter une réinsertion professionnelle pourun “ex-taulard”, qu’elle soit intra ou extra-muros. Pour toucher d’un peu plus près cette réalité, les organisateurs de la semaine del’emploi d’Ixelles avaient invité, ce 21 novembre, l’association Après, les Petits riens et un ex-détenu, Jean-Marc Mahy, venu témoignerd’un parcours peu banal…
Travail intérimaire : vers la fin des restrictions ?
Adoptée par le Parlement européen, la directive concernant le travail intérimaire appelle notamment à la levée des restrictions « non justifiées» empêchant l’usage de l’intérim dans certains secteurs. En Belgique, le secteur public, la batellerie intérieure et le déménagement pourraient, entre autres,être concernés. Une question actuellement débattue au sein du Conseil national du travail (CNT).
Familles recomposées : ni idyllique ni sordide, simplement plus difficile
Moins de revenus, moins de place pour vivre, plus de difficultés à l’école… Selon une étude de la Fondation Roi Baudouin (FRB), les enfants vivant dans desfamilles recomposées vivent globalement moins bien que les autres.
Crise du logement : un enjeu européen
Profitant de la présidence de l’Union européenne de Nicolas Sarkozy, le Ministère de la crise du logement1, créé en France en 2006, ainauguré un bureau paneuropéen à Bruxelles, au n° 123 de la rue Royale, ce samedi 11 octobre. Avec une idée en tête : étendre son réseau aux payslimitrophes. Un premier pas avant de créer un lieu d’accueil dans chaque pays.
Vouloir éradiquer la pauvreté c'est bien, y mettre les moyens, c'est mieux…
Les 15 et 16 octobre, s’est déroulée à Marseille, la septième rencontre européenne sur la pauvreté et l’exclusion sociale. L’occasion defaire le point sur les très maigres avancées européennes en matière de lutte contre la pauvreté mais aussi d’assister à une grande première dansl’histoire de l’Union européenne : la rencontre des ministres européens chargés de la lutte contre la pauvreté.
L'esclavage n'est pas aboli
Une matinée de réflexion pour aborder le thème des « esclaves modernes » était organisée par Bruxelles Laïque. Un sujet vaste et épineuxs’il en est. Trop sans doute pour en faire le tour de manière convaincante.
JDI : Santé et populations précarisées
On le sait – l’adage populaire traverse les décennies ! – mieux vaut être riche et en bonne santé que pauvre et malade. Pour nous le rappeler, différentsintervenants rappelleront tour à tour quelques grandes statistiques européennes : les conséquences sur la santé de l’accumulation de contrats précaires enItalie, l’insuffisante accessibilité en France d’un vaccin contre l’une des formes les plus répandues de cancer chez les femmes, celui du col de l’utérus, avantde terminer par une enquête des Mutualités chrétiennes sur l’accessibilité des médicaments, laquelle confirme – si besoin en était – ceconstat : la pauvreté nuit gravement à la santé.
La médecine au forfait ne plombe pas la Sécu
Le coût et la qualité de la médecine générale sont équivalents, quel que soit le système de financement (au forfait ou à l’acte). Telle estla conclusion d’un rapport1 du KCE2, le Centre fédéral d’expertise des soins de santé.
Une girafe sous la pluie explique la politique d'asile aux enfants
À travers l’histoire d’une girafe et des jeux interactifs, la Ligue belge des droits de l’homme1 tente de faire appréhender une réalité difficile –celles des réfugiés et demandeurs d’asile – et de la rendre accessible aux tout petits, tout en sensibilisant les parents, professeurs et éducateurs.
Namur accueille les Gens du voyage
À ce jour, il n’existe qu’un terrain d’accueil pour les Gens du voyage en Région wallonne. En marquant sa volonté d’en créer un deuxième, la Ville de Namur sedémarque. Mais cela reste une maigre avancée au regard des milliers de personnes concernées.
Portrait pluriel des familles solo
Le nombre de familles monoparentales a fortement augmenté ces dernières années. Une étude de l’Onafts1 en dresse le portrait et confirme leur plusgrande vulnérabilité.
