#Bruxelles

L’enseignement supérieur menacé par les lois du marché
Les universités et les hautes écoles font de plus en plus appel à des services privés pour gérer leurs services, que ce soit la restauration, le nettoyage ou même le logement. La formation n’est pas épargnée par cette privatisation. Tour d’horizon des menaces qui pèsent sur le paysage de l’enseignement supérieur. >Intéressé(e)s par cet article ? Découvrez nos offres d’abonnements sur https://www.alterechos.be/abonnements-alter-echos/

Tout est bon dans la privatisation
Le moindre service social serait-il une marchandise comme une autre? À débattre avec ce dossier, et une certitude: le privé qui nous rend service, c’est une affaire d’intérêt public.

EZLN : «On a dû faire les rigolos pour être pris au sérieux»
Ce lundi, à l’ouverture du 14ème round des négociations du TTIP qui se déroulent à Bruxelles, une septantaine d’activisites déguisés en animaux a fait irruption dans le périmètre de sécurité du Centre Albert Borschette où les négociateurs se trouvaient. Rencontre avec la sous-commandante Pingouin, de l’Ensemble Zoologique de Libération de la Nature à qui l’on doit cette action.

Tout est bon dans la privatisation
Rendre service au public ? Une pratique du privé.

La Belgique, ce gros samovar
Étant gosse, l’objet me fascinait. Brillant, compliqué, rempli de valves et de robinets, il trônait sur un vieux meuble en bois sombre, dans le salon de ma grand-mère. En attendant son heure, comme tout bon samovar doit le faire. Son rôle principal était certes de rappeler à ma «Babouchka» ses origines russes. Mais parfois il s’animait et, là, c’était un festival. Ça fumait, ça bouillait et, au final, ça produisait du thé! Quelle machine, et quel bazar pour produire un petit liquide brunâtre. Ça aussi, ça me fascinait… Trente ans plus tard, c’est l’État belge qui me procure un sentiment presque comparable.

Le logement wallon plus accessible
La Wallonie a pris récemment des mesures pour améliorer l’accessibilité au logement pour les publics précarisés. Tour d’horizon.

Paul Jorion: «L’humanité est au bord de l’extinction»
Anthropologue, sociologue et trader dans une autre vie, célèbre pour avoir notamment annoncé la crise des subprimes en 2007 («Vers la crise du capitalisme américain», La Découverte), Paul Jorion distille aujourd’hui ses idées sur son blog, financé par le public, et dans ses livres. Dans son dernier ouvrage publié au printemps «Le dernier qui s’en va éteint la lumière, essai sur l’extinction de l’humanité», il avance que l’espèce humaine disparaîtra d’ici deux ou trois générations. Nous l’avons rencontré, avant qu’il ne soit trop tard.

Excisées, exilées
Des demandeuses d’asile du centre de Florennes portent sur scène la question des mutilations sexuelles dont elles ont été victimes. Le projet théâtral Silence de plomb, paroles de soi(e), présenté à Bruxelles mi-juin, transforme la souffrance endurée en silence [...]

«Gender budgeting», utile ou bling-bling?
Après le fédéral et la Cocof, la Fédération Wallonie-Bruxelles se met au gender budgeting ou «budgétisation sensible au genre». Un concept essentiel à l’égalité hommes-femmes qui peine encore à se traduire concrètement.

La famille sous l’aile d’Ixelles
Cette année encore, des familles en errance, souvent roms, se sont retrouvées à la rue. À Ixelles, un projet modeste explore des solutions concrètes pour stabiliser la vie d’une famille slovaque.

Sans-abrisme au féminin
Les femmes sans abri présentent des trajectoires de vie distinctes de celles de leurs homologues masculins. Souvent marquées par la violence conjugale et une relative invisibilité dans l’espace public, doivent-elles bénéficier de mesures spécifiques?

«Silence de plomb, paroles de soi(e)»: des victimes d’excision sortent de l’ombre
Des demandeuses d’asile du centre de Florennes portent sur scène la question des violences et des mutilations sexuelles dont elles ont été victimes dans leur pays d’origine. Le projet théâtral Silence de plomb, paroles de soi(e), présenté ces vendredi et samedi à Bruxelles, brise le silence qui entoure leur souffrance.