#Belgique
Patou Macaux, comédienne
Depuis plus de vingt ans, Patou Macaux met son talent de comédienne au service du théâtre-action, pour amener ceux qui n’ont pas voix au chapitre, à se faireentendre.
Le cirque social en formation
Huit écoles de cirques implantées en Europe lancent une recherche sur le cirque social. L’objectif : mieux préparer les travailleurs qui utilisent le cirque comme outilpédagogique.
Saint-Hubert, patron des enfants pas sages
Le Centre fédéral fermé pour mineurs délinquants francophones s’apprête à ouvrir ses portes à Saint-Hubert.
Portrait du pauvre-type
La Fédération wallonne des CPAS esquisse le portrait type du pauvre wallon. C’est une mère célibataire avec deux enfants.
La papote au service de la cohésion sociale
Le groupe d’échange de savoirs « Espace Papot’Thé » à Liège figure dans le top cinq des 37 projets primés par le prix Fonds DelhaizeGroup destiné à booster la convivialité dans les quartiers.
Interculturalité et accommodements raisonnables au Québec
Les accommodements raisonnables au Québec. De quoi s’agit-il ? En quoi consiste le dispositif développé ? Quels acteurs interviennent ? À quelsproblèmes permet-il de s’attaquer ? Le point dans Alter Échos.
Loi sur le crédit : décriée hier, louangée aujourd’hui
Le 19 novembre 2009, l’Observatoire du crédit et de l’endettement consacrait son colloque annuel à la problématique des services financiers offertsaujourd’hui aux consommateurs.
Les syndicats sont pour des indicateurs verts
Loin de Copenhague, de ses remous médiatiques et de son relatif échec, les milieux syndicaux s’intéressent à l’impact de la crise environnementale sur notremanière de vivre.
Le rapport pauvreté plaide pour l'effectivité des droits
Publication bisannuelle, le rapport pauvreté 2008-2009 enfonce le clou – une fois encore – à l’heure de l’année européenne de la pauvreté.
Inégalités sociales de santé riment avec pauvreté
La santé d’un individu est liée à sa position socio-économique et inversement. La Mutualité chrétienne a décidé de prendre cetteproblématique à bras-le-corps.
"Si vous voyez que nous nous sacrifions et exposons notre vie…"
Ils avaient fui la Guinée, mais ils auraient tout aussi bien pu fuir la République démocratique du Congo, le Rwanda, le Burundi, le Sénégal. Ils auraient puvenir d’Irak, de Tchétchénie ou d’Afghanistan. La lettre retrouvée le 2 août 1999 sur les corps de Yaguine et Fodé, 14 et 15 ans, morts en tentant degagner la Belgique, est révélatrice des espoirs de millions de jeunes qui rêvent d’Europe pour y faire des études et se construire un avenir. Euxs’étaient cachés sous le train d’atterrissage d’un Airbus de la Sabena.
Quand les enfants fuient les zones de turbulences
Il s’appelle Frédéric, il est belge. Il a treize ans et, balluchon sur l’épaule, il quitte ses parents, ses deux grands frères et sa petite sœur, ses amis, sonamoureuse, sans savoir s’il les reverra un jour.