#associatif
Le logement : un lieu de vie et d’accompagnement
Dans le cadre du programme européen Interreg III, diverses associations de Wallonie et du Nord Pas-de-Calais actives dans l’accompagnement social dans le logement se sont réuniesà Lille, à l’Institut social Lille Vauban, ce 18 janvier.
Squat du 103 : une défaite et des acquis
Ce vendredi 17 novembre, les occupants du squat bruxellois du 103 boulevard de Waterloo ont dû plier bagages. Le jugement rendu quelques jours plus tôt les expulse, mais il rappelleaux pouvoirs publics leurs obligations en termes de relogement.
Traitements inhumains à Vottem : une enquête externe est exigée
Le magazine Ciné Télé Revue a publié ce 16 novembre l’interview de quatre gardiens du centre fermé de Vottem. Ces gardiens témoignent, sous couvertde l’anonymat, de faits extrêmement inquiétants : graves carences dans la prise en charge des détenus malades, pressions du régime de groupe, utilisation abusive del’isolement, brutalités …
pendant les expulsions. Des témoignages qui ont suscité de nombreuses réactions indignées au niveau politique et associatif.
Un Belge sur cinq n’a jamais utilisé d’ordinateur
Environ 1,9 million de Belges n’ont jamais utilisé d’ordinateur et 2,6 millions n’ont jamais navigué sur internet, a révélé ce 8 novembre le service publicfédéral (SPF) Économie, sur la base d’une étude réalisée auprès de 10 659 Belges ayant entre 16 et 74 ans.
» C’est notre histoire … » du contrat de quartier Matongé-Blyckaerts
Un inventaire des ressources du contrat de quartier Matongé-Blyckaerts1 (Ixelles) a été réalisé avec les moyens du bord, la bonne volonté etl’inventivité des trois personnes engagées par l’asbl Viaduc2. Créée elle aussi dans le cadre du contrat de quartier, l’asbl a pour mission de » favoriser le dialogue, la rencontre et la production de liens sociaux interculturels dans le quartier « . L’inventaire, lui, s’est donné comme vocation de contribuer à cetobjectif en favorisant les rencontres et les échanges entre habitants, experts, fonctionnaires et politiques.
« Des tambours sur l’oreille d’un sourd » : carnet de bord d’une démarche
C’est le titre d’un livre pas vraiment conventionnel qui sort ces jours-ci à propos de la réforme de l’Éducation permanente. Fruit d’un travail collectif d’une dizaine depersonnes, qui ont compilé et actualisé les écrits de la plate-forme associative Bigoudis1, cet ouvrage propose une réflexion critique sur la mise en œuvredu décret de 2003.
Pacte associatif : l’enjeu local
Dans le débat public tel qu’il a pu émerger à Bruxelles et en Wallonie, le pacte associatif a d’abord été tpensé comme un objectif àréaliser sur le plan communautaire et régional1. C’est notamment sur la base de la consultation des acteurs que l’échelon local a émergé comme un desaxes majeurs de sa mise en œuvre, voire une des conditions de sa réussite. S’il existe encore peu d’exemples très concrets de version locale d’un pacte associatif en tant que tel,on compte déjà beaucoup de réflexions et de balises théoriques posées pour une future mise en œuvre à cet échelon.
Intelligence territoriale : les communes travaillent leur Q.I.
Les démarches d’« intelligence territoriale » sont de plus en plus pratiquées par les acteurs locaux. Ce concept désigne, selon l’asblOptim@1, « l’ensemble des connaissances pluridisciplinaires qui contribuent à la compréhension des structures et des dynamiques des territoires pour aider lesacteurs à définir, animer et évaluer des politiques et des actions de développement durable ». Si c’est au niveau local que se développe surtout cetteapproche, c’est parce que, comme l’explique le Réseau européen d’intelligence territoriale, il est perçu comme « l’échelle d’actionefficace pour aborder les problèmes rencontrés par les populations ». « C’est à ce niveau qu’il est possible de mettre en œuvre des solutionsglobales, intersectorielles et participatives pour lutter contre les phénomènes complexes d’exclusion et de pauvreté ». Focale sur deux expériences, àCharleroi et à Seraing, sous l’angle de la participation et de l’emploi.
« Ça passe par ma commune » : quand la société civile interpelle les communes
Pour la troisième édition de la campagne initiée en 1994 par les Magasins du Monde-Oxfam1 et le CNCD -11.11.112 entre autres, pas moins d’unedizaine d’associations3 ont pris le parti d’interpeller les futurs élus communaux sur les enjeux liés au développement durable et équitable. Depuisla solidarité internationale jusqu’au commerce éthique et équitable en passant par les lobbyings environnementaux, tous les acteurs ont mis leurs forces –majoritairement volontaires – au service d’une meilleure prise en compte de ces intérêts universels à l’échelon local. Premier bilan d’une initiativeassociative visant la sensibilisation des élus communaux.
Télévision du monde : un projet de télé alternatif ?
Télévision du monde1, c’est le nom d’un projet lancé par quelques personnes depuis plusieurs mois. L’idée a germé après quePatrice Le Lay, le pdg de TF1, ait présenté la finalité de sa chaîne comme la « vente de temps de cerveau disponible » au marché de la publicité.Ici, la volonté d’une autre approche de la télé – « donner le goût du savoir libre » – et aussi « porter la voix de tous ceux qui portent lerêve d’un autre monde ». Vaste programme, encore en gestation, et en recherche de contributions.
L’Institut du Nouveau Monde de Montréal : un brassage d’idées au service de la société
Durant quatre jours consécutifs en août, environ 500 jeunes Québécois et « internationaux » âgés de 15 à 35 ans se sont penchéssur la rédaction d’un Manifeste citoyen dans le cadre de l’École d’été du Nouveau Monde1. La volonté affichée ? Débattredes enjeux sociopolitiques comme la polarisation fédéralistes-souverainistes au niveau de la province canadienne mais, bien au-delà, proposer en tant que jeunes un modèlede société empreint de justice sociale et de respect des valeurs démocratiques.
Élections communales : les programmes des partis
Les élections communales, c’est pour dans quelques jours. La première quinzaine de septembre a vu tous les partis démocratiques présenter leurs priorités.Si les thèmes peuvent apparaître assez semblables d’un parti à l’autre (la sécurité, la gouvernance, l’emploi…), les propositions qui sontprivilégiées diffèrent évidemment. Bien entendu, celles-ci seront déclinées en fonction des enjeux et des rapports de forces locaux. Petit tour en 7 pointsdes programmes du MR, du PS, du CDH et d’Écolo.