#associatif
L'ordonnance « Gestion mixte » à Bruxelles transmise au Parlement
L’avant-projet d’ordonnance du ministre Tomas1 relative à la gestion mixte du marché de l’emploi en Région bruxelloise a enfin étédéfinitivement approuvé par le gouvernement régional et transmis au Parlement. La deuxième lecture, avant demande d’avis au Conseil d’État, datait du 18 juillet.Seules des modifications techniques ont été apportées, notamment pour se conformer à des dispositions européennes qui n’avaient pas été prises encompte dans un premier temps.
Liste des locataires défaillants : l'associatif contre-attaque
Dans un communiqué daté du 31 janvier, le RBDH1 (Rassemblement bruxellois pour le droit à l’habitat) et le Syndicat des locataires2 ont fait part de leurintention d’entamer une procédure judiciaire contre le fichier des locataires défaillants. Les deux associations estiment que le SNP3 (Syndicat national despropriétaires) n’a pas procédé aux modifications suggérées par la Commission pour la protection de la vie privée, dans son avis du 19 décembre2002.
L’ordonnance « Gestion mixte » à Bruxelles transmise au Parlement
L’avant-projet d’ordonnance du ministre Tomas1 relative à la gestion mixte du marché de l’emploi en Région bruxelloise a enfin étédéfinitivement approuvé par le gouvernement régional et transmis au Parlement. La deuxième lecture, avant demande d’avis au Conseil d’État, datait du 18 juillet.Seules des modifications techniques ont été apportées, notamment pour se conformer à des dispositions européennes qui n’avaient pas été prises encompte dans un premier temps.
Avant projet de décret Éducation permanente : discussions au gouvernement
L’avant-projet de décret réorganisant l’éducation permanente (EP) est sur le point d’être discuté au gouvernement de la Communauté française. Ildevrait entrer en vigueur au 1er janvier 2004.
Liste des locataires défaillants : l’associatif contre-attaque
Dans un communiqué daté du 31 janvier, le RBDH1 (Rassemblement bruxellois pour le droit à l’habitat) et le Syndicat des locataires2 ont fait part de leurintention d’entamer une procédure judiciaire contre le fichier des locataires défaillants. Les deux associations estiment que le SNP3 (Syndicat national despropriétaires) n’a pas procédé aux modifications suggérées par la Commission pour la protection de la vie privée, dans son avis du 19 décembre2002.
« Paroles d’immigrés », un outil pédagogique audiovisuel pour mieux comprendre l’immigration
Partant du constat que les jeunes – Belges de souche, mais aussi ceux issus de l’immigration – ne connaissent finalement que très partiellement, voire pas du tout, leparcours socio-économique de la première génération d’immigrés, la Cellule de médiation interculturelle du Service des affaires sociales de la Ville deNamur s’est investie dans un projet pédagogique original en partenariat avec le Centre régional d’intégration de la province de Namur (le Centre d’actioninterculturelle, CAI)1 et l’Institut technique de la Communauté française Félicien Rops de Namur.
Plus de crédibilité pour les associations via un compte satellite à la Banque nationale en 2004
La thèse de doctorat en économie récemment défendue avec brio par Sybille Mertens1 à l’Université de Liège (Centre d’économiesociale) souffle un petit vent de reconnaissance pour le « non-marchand ». Ce secteur rassemble principalement les services publics et les associations actives dans le domaine de lasanté, de l’éducation, de l’action sociale, de la culture…
L’associatif marollien, en collaboration avec « Carrefour », lance la première supérette sociale
Les supérettes sociales, on connaît, du moins celles organisées par les CPAS mais celle qui s’est ouverte au cœur des Marolles ce 3 mars est d’un tout autre genre. Eneffet, « Les Capucines »1 – c’est ainsi qu’elle a été baptisée en raison de son ancrage rue des Capucines – est le fruit d’une associationentre les magasins Carrefour2 et plusieurs associations marolliennes. Si le concept est connu en France, il s’agit d’une première pour la Belgique. Les produits de marque y sontvendus 80 % moins cher que dans les grandes surfaces. Dans les rayons, rien que des produits classiques, des eaux au café en passant par les conserves ; alcools et cigarettes sont toutefoisbannis. Seule grande différence et de taille, le prix : 60 cents au lieu de 3,07 euros pour un pot de choco, vraiment pas cher ! Mais tout le monde n’y aura pas accès, seules lespersonnes en difficulté pourront y faire leurs courses.
Vesti Bulle : premier magasin citoyen à La Louvière
La multiplication des services se poursuit au CPAS de La Louvière qui a inauguré, le samedi 8 février dernier, le premier de ses magasins citoyens, spécialisédans la commercialisation de vêtements de seconde main. En fonction depuis le 21 décembre 2002, Vesti Bulle est le résultat de la collaboration entre les services sociaux, leservice insertion et le service technique du CPAS louviérois1.
Le drame des « Mésanges » ravive le débat sur l’état du parc locatif social
Dans la nuit du 19 au 20 février, un incendie ravageait l’immeuble de logements sociaux « Les Mésanges », à Mons. Le bilan fut lourd : 7 morts, 23 personnesintoxiquées, sans compter le relogement en urgence des autres personnes. L’irresponsabilité des personnes ayant détérioré les systèmes d’alarme atout d’abord été dénoncée. Mais, il semble surtout aujourd’hui que la thèse de l’incendie criminel soit privilégiée.
Un plan pour le développement des connaissances et des savoir-faire
Lors de la finalisation du Contrat d’avenir renouvelé (CAR) en janvier dernier, le gouvernement wallon s’était engagé à produire quatre Plans stratégiquestransversaux (PST) supplémentaires portant respectivement sur la création d’activités (PST 1), la recherche, la formation et le développement des connaissances etsavoir-faire (PST 2 – piloté conjointement par la Communauté française et la Région wallonne sous la direction de Marie Arena), l’inclusion sociale (PST 3) et ledéveloppement territorial équilibré (PST 4). Après l’approbation en première lecture du PST 1 fin mai, ça a été au tour du PST 2 le 7 juillet.Fils du Contrat pour l’école et du Contrat d’avenir, ce Plan a renoncé à l’appellation « Capital humain » mais continue à chercher les synergies entre laRégion et la Communauté et à simplifier le paysage institutionnel de l’enseignement et de la formation. Tentative de présentation-résumé d’un document d’unesoixantaine de pages divisé en 14 impulsions touchant à trois domaines : formation, recherche, TIC. C’est essentiellement au premier de ces trois domaines que cet article estconsacré.
Une partie du budget 2004 du CPAS de Bruxelles-Ville discutée avec les habitants
Le budget participatif made in Porto Alegre a fait, c’est le moins qu’on puisse dire, de nombreux émules en Europe et depuis, on voit éclore par-ci par-là quelquesexpériences pilotes proches ou éloignées du modèle original. Aujourd’hui, c’est au tour du CPAS de Bruxelles-Ville1 de s’essayer àl’exercice. Il a en effet décidé de mener deux opérations pilotes dans le quartier Anneessens qui dépend de l’antenne Dam-Bodeghem et dans le quartier du basde Laeken, dans les environs de la place Bockstael, couvert par l’antenne Champ de l’Église. Enjeu : décider de l’attribution d’une partie du budget 2004 duCPAS2.« Nous avons entamé une réflexion sur la manière de faire participer les citoyens à l’élaboration partielle du budget, développeYvan Mayeur, président du CPAS. Il ne s’agit pas de débattre du montant du minimex ou des dépenses du personnel mais nous couvrons une série de matières quipeuvent se gérer en tenant compte de l’avis de la population.3 » Les matières en question sont l’insertion socioprofessionnelle, le logement et la gestiondu patrimoine du CPAS. Objectif : faire participer les citoyens et plus particulièrement le public défavorisé du CPAS. Des réunions se sont déjà tenues avecle milieu associatif et les assistants sociaux des antennes, afin de leur expliquer le budget du CPAS « Ce sont des choix politiques avant d’être des chiffres », insiste YvanMayeur. Des premiers contacts, il ressort que les habitants de Laeken (où l’on compte 500 bénéficiaires du revenu d’intégration sociale) réagissent demanière plus enthousiaste qu’au centre-ville.