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Regard critique · Justice sociale
Candice Vanhecke

Candice Vanhecke

Enfants migrants : après l’exil, l’école Maximilien pour reprendre pied

Nouveau pays, nouvelle langue, nouveaux copains à se faire… Après un exil souvent traumatisant, les enfants migrants doivent constamment s’adapter à tout. À l’école Maximilien, des bénévoles tentent de leur offrir un environnement sécurisant, du divertissement et, surtout, de les maintenir à flot dans un système scolaire qui ne tient pas assez compte de leurs spécificités.

Edwy Plenel : «La Belgique plurielle et multilingue résiste mieux au racisme que la France une et indivisible»

De passage en Belgique pour participer au festival Manifiesta, le fondateur de Mediapart nous a livré ses réflexions sur la montée du racisme, les défis que pose la question migratoire et l’échec de l’Europe à contrer les nationalismes. Alter [...]

Photomaton 21-09-2018

Monnaies locales:
les élus frileux

Au Brésil, en Allemagne ou au Japon, des citoyens créent leur propre monnaie, pour lutter contre la spéculation et la mainmise des banques. En Belgique, aussi, des monnaies locales fleurissent depuis 2012. Une manière de promouvoir une autre économie, plus solidaire et respectueuse de l’environnement.

«Contre la radicalisation, offrons aux jeunes des pistes d’engagement»

Le livre «Mon enfant se radicalise» trouve sa source dans une des très rares initiatives pour prévenir la radicalisation en Belgique: le projet « Rien à faire, rien à perdre ». Créé par la sociologue clinicienne Isabelle Seret et porté dans les écoles par Saliha Ben Ali, la maman d’un djihadiste décédé en Syrie, «RAFRAP» présente les témoignages vidéo de quatre jeunes anciennement radicalisés. Derrière cet outil pédagogique, des centaines d’heures d’écoute, de ces ados un temps séduits par le discours djihadiste, mais aussi de parents d’enfants partis en Syrie. Avec l’aide de son confrère

Conseillers philosophiques en IPPJ: l’art d’être à la fois prof et aumônier

Ils ne sont que neuf en Fédération Wallonie-Bruxelles. Tantôt enseignants, tantôt accompagnateurs spirituels, ils jonglent avec des casquettes qui ne s’accordent pas toujours. Gros plan sur une profession indispensable en IPPJ, mais qui manque sérieusement de considération.