En Belgique, les lieux hors hôpitaux où il est possible d’avorter diffèrent d’une région à l’autre. En Flandre, les soins sont centralisés dans quelques cliniques spécialisées. Alors qu’en Wallonie et à Bruxelles, l’avortement est intégré au sein des centres de planning familial. Ces différences d’approche reflètent des trajectoires politiques, sociales et culturelles divergentes.

Ursula von der Leyen rempile pour cinq années supplémentaires à la tête de la Commission européenne à Bruxelles. Malgré son passé de ministre fédérale du Travail et des Affaires sociales, l’Allemande ne semble guère décidée à faire de l’approfondissement de l’Europe sociale sa priorité.

Le GERAS (Groupe d’étude pour la réforme de l’action sociale) propose de réformer les CPAS bruxellois, autour d’une identité positive et d’un nouveau paradigme de l’action sociale publique. Une urgence vu l’actualité récente. Rencontre avec des actrices et des acteurs de l’action sociale qui, sur la base de leurs pratiques, proposent analyses et pistes pour le terrain bruxellois.

À Anderlecht, des personnes vulnérables doivent attendre longtemps avant qu’on ne leur vienne en aide tandis que d’autres, bien peu scrupuleuses, tirent profit de la situation. Voilà comment on pourrait divulgâcher le reportage de la VRT sur le CPAS d’Anderlecht.

Comment l’art peut-il appréhender la réalité sociale et améliorer le présent? Comment peut-il changer notre vision du monde actuel et nous aider à construire un avenir meilleur?

En parallèle à l’expansion de l’e-commerce émerge un nouveau champ de recherche, notamment consacré aux conséquences environnementales des livraisons. Incarnées par les camionnettes – des véhicules souvent anciens, qui roulent au diesel et effectuent beaucoup de courts trajets, gourmands en carburant – les livraisons ont encore du chemin à faire vers la décarbonation. Rencontre avec Louise Duprez, gestionnaire de projets mobilité durable pour Bruxelles Environnement, et Joséphine Mariquivoi, doctorante au sein du groupe de recherche Mobilise à la VUB.

Il n’y a pas d’âge pour devenir aidant proche. En Wallonie, de nombreux enfants et jeunes jouent ce rôle au quotidien en apportant une aide constante et importante à un membre de leur famille souffrant d’une maladie chronique ou d’un handicap, d’un problème de santé mentale ou d’assuétudes. Diverses études sur le sujet estiment à 20% le nombre des jeunes aidants. Pourtant, leur réalité reste méconnue et peu prise en compte alors que les conséquences de cette prise en charge sont nombreuses…

Il n’y a pas d’âge pour devenir aidant proche. En Wallonie, de nombreux enfants et jeunes jouent ce rôle au quotidien en apportant une aide constante et importante à un membre de leur famille souffrant d’une maladie chronique ou d’un handicap, d’un problème de santé mentale ou d’assuétudes. Diverses études sur le sujet estiment à 20% le nombre des jeunes aidants. Pourtant, leur réalité reste méconnue et peu prise en compte alors que les conséquences de cette prise en charge sont nombreuses…

Il n’y a pas d’âge pour devenir aidant proche. En Wallonie, de nombreux enfants et jeunes jouent ce rôle au quotidien en apportant une aide constante et importante à un membre de leur famille souffrant d’une maladie chronique ou d’un handicap, d’un problème de santé mentale ou d’assuétudes. Diverses études sur le sujet estiment à 20% le nombre des jeunes aidants. Pourtant, leur réalité reste méconnue et peu prise en compte alors que les conséquences de cette prise en charge sont nombreuses…

Il n’y a pas d’âge pour devenir aidant proche. En Wallonie, de nombreux enfants et jeunes jouent ce rôle au quotidien en apportant une aide constante et importante à un membre de leur famille souffrant d’une maladie chronique ou d’un handicap, d’un problème de santé mentale ou d’assuétudes. Diverses études sur le sujet estiment à 20% le nombre des jeunes aidants. Pourtant, leur réalité reste méconnue et peu prise en compte alors que les conséquences de cette prise en charge sont nombreuses…

Il n’y a pas d’âge pour devenir aidant proche. En Wallonie, de nombreux enfants et jeunes jouent ce rôle au quotidien en apportant une aide constante et importante à un membre de leur famille souffrant d’une maladie chronique ou d’un handicap, d’un problème de santé mentale ou d’assuétudes. Diverses études sur le sujet estiment à 20% le nombre des jeunes aidants. Pourtant, leur réalité reste méconnue et peu prise en compte alors que les conséquences de cette prise en charge sont nombreuses…