#asbl
Quel avenir pour les Agences de développement local ?
En septembre, le gouvernement wallon devrait s’accorder sur les arrêtés relatifs au projet de décret modifiant le décret du 25 mars 2004 sur l’agrément etl’octroi de subventions aux agences de développement local (ADL). Nouveaux statuts, recentrage des missions et pérennisation sont à l’ordre du jour. Vues du terrain.
Une Wallonie sans pauvreté en 2025 ?
Fin juin, le Parlement wallon accueillait le Colloque sur le Réseau wallon de lutte contre la pauvreté (RWLP)1. L’occasion de rappeler l’ambitieux projet d’une «Wallonie sans pauvreté d’ici 2025 ».
Gestion des incivilités : bilan de la loi après cinq mois d’application
Le 1er avril 2005 entrait en vigueur la loi1 relative aux sanctions administratives communales. Celle-ci attribuait aux communes la gestion d’une série depetites infractions retirées du Code pénal. Très vite, la pratique a révélé les nombreuses failles du système. Administrations communales, magistratsou directeurs d’AMO critiquent la mesure, alors qu’une nouvelle loi « réparatrice » tente de l’améliorer.
Fracture numérique : les Corsaires fendent les vagues de l’« analphaNétisme »
Située à Anderlecht, au coeur d’un quartier en pleine revitalisation, l’asbl Les Corsaires1 s’est intéressée dès 1999 àl’outil Internet. Son but : le rendre accessible aux publics dits « mal connectés».
Des commissions paritaires pour régler les conflits locatifs
Le 1er juillet, trois commissions paritaires locatives ont vu le jour à l’initiative du gouvernement fédéral. Leur mission : régler par la médiationles conflits locatifs.
L'ordonnance « Gestion mixte » à Bruxelles transmise au Parlement
L’avant-projet d’ordonnance du ministre Tomas1 relative à la gestion mixte du marché de l’emploi en Région bruxelloise a enfin étédéfinitivement approuvé par le gouvernement régional et transmis au Parlement. La deuxième lecture, avant demande d’avis au Conseil d’État, datait du 18 juillet.Seules des modifications techniques ont été apportées, notamment pour se conformer à des dispositions européennes qui n’avaient pas été prises encompte dans un premier temps.
Plus de culture dans le volet citoyenneté de l'Ouest du Brabant wallon ?
Faire de l’animation citoyenne ou culturelle pour vitaliser la citoyenneté de l’Ouest du Brabant wallon et comment l’articuler aux autres volets économique, politique, social, c’estun débat auquel participent une série d’acteurs de cette région en pleine reconversion. AE fait le point avec Luc Schoekens1, Olivier Van Hee2 et DanielRoland3, à quelques jours du colloque « Villes et communes : quelle politique culturelle ? »
Le droit à l'intégration sociale à l'épreuve de trois droits constitutionnels
À l’heure où les juridictions sont appelées à élaborer une nouvelle jurisprudence fondée sur l’application de la loi du 26 mai 2002 concernantle droit à l’intégration sociale, l’Association des maisons d’accueil (l’AMA)1, a jugé opportun de rappeler certains droits fondamentaux quisous-tendent l’action des CPAS vis-à-vis des demandeurs du droit à l’intégration sociale. Pour ce faire l’AMA a fait appel au cabinet d’avocats bruxelloisLanglet & Moreno2, spécialisé dans les affaires afférentes à la législation du travail et de la sécurité sociale, qui arédigé pour le compte de l’association une contribution très fouillée sur la question et l’a exposée lors d’une journée organisée parl’AMA le 27 mars dernier.
L’ordonnance « Gestion mixte » à Bruxelles transmise au Parlement
L’avant-projet d’ordonnance du ministre Tomas1 relative à la gestion mixte du marché de l’emploi en Région bruxelloise a enfin étédéfinitivement approuvé par le gouvernement régional et transmis au Parlement. La deuxième lecture, avant demande d’avis au Conseil d’État, datait du 18 juillet.Seules des modifications techniques ont été apportées, notamment pour se conformer à des dispositions européennes qui n’avaient pas été prises encompte dans un premier temps.
Arnaques à la formation : des indices qui ne trompent pas
Dans un marché de l’emploi en crise, s’il est un secteur qui rencontre du succès auprès des personnes à la recherche d’un travail, c’est celuide la formation. A côté des filières de formation gratuite organisées ou subventionnées par les pouvoirs publics, il existe aussi pléthore d’offres deformation qui relèvent purement et simplement de l’arnaque. Domaines privilégiés : les métiers de secrétaire médicale, podologue, esthéticienne,pédicure, langues, détective privé, garde du corps, mannequin, modèle, hôtesse d’accueil, agent commercial, garde-chasse, reporter-photographe, comptable,informatique…
« De rien, Saïd » : un cri pour rester humain
« Ce spectacle est dur, difficile mais très beau », annonce Isabelle Gillard, du Centre culturel du Brabant wallon (CCBW)1. C’est un cri. « Est-ce que çatouche quelqu’un ? », lance Jabir, un des acteurs, depuis la scène. Oui, ça transperce. Sur fond de décor réduit à un écran, un pupitre et une chaise,les comédiens, professionnels et amateurs, belges, marocains et d’ailleurs, se déplacent dans une pénombre qui permet aux spectateurs de se laisser emporter, accrochés parle roulis des mots pourtant loin d’être tendres. « L’indifférence est ta carapace, étranger. Insensible, distant, tu sembles hors d’atteinte des attaques et des rejets quetu ressens pourtant avec la vulnérabilité d’une méduse. C’est que l’écart où l’on te tient répond à celui où tu te loges toi-mêmejusqu’au noyau indolore de ce que l’on appelle l’âme, cette humilité qui, en définitive, est une brutalité nette. »2
La commune et le CPAS de Woluwé-St-Pierre créent une SPRL à finalité sociale
Depuis son déménagement récent dans le centre communautaire de Joli-Bois, le CPAS de Woluwé-St-Pierre1 ne s’étend pas qu’en surface, il vient en effetde mettre sur pied avec la commune de Woluwé un partenariat inédit en Région bruxelloise : la création par deux services publics d’une SPRL à finalitésociale baptisée « Le coup de pouce de Woluwé-St-Pierre »2. Objectif : offrir aux habitants de la commune un certain nombre de services à domicile dont lebricolage, le jardinage, le nettoyage, etc. Les services seront effectués par 15 « article 60 »3 engagés par le CPAS et mis à disposition de la SPRL.Pourquoi avoir choisi un tel statut ? « Parce que nous ne voulions pas démarrer sous le statut d’asbl, à notre avis trop nébuleux, explique Frédéric Lombart,responsable du service insertion du CPAS de Woluwé. Il s’agit ici de présenter une comptabilité tout ce qu’il y a de plus transparent et d’offrir un véritable label dequalité. »