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Regard critique · Justice sociale
 

 

La mobilité dans un monde rural en mutation : un colloque de l'ACRF

« Habiter l’espace rural : des racines et des rêves ? Un milieu en mutation », c’était le thème des journées d’études des femmes del’Action chrétienne rurale des femmes (ACRF)1 de ces 12 et 13 septembre au centre culturel de la Marlagne. L’objectif était « d’approfondir sonidentité et d’entrer en dialogue pour un meilleur vivre-ensemble dans nos villages et de se donner les moyens de réagir en analysant les mutations du monde rural sur le planéconomique, culturel, politique et environnemental ». Ce colloque était organisé à l’occasion de la sortie de presse d’une étude sur « Lamobilité des personnes en milieu rural »2. L’occasion aussi de revendiquer plus de mobilité pour les personnes socialement défavorisées en milieurural.

L’asbl « Histoire collective » travaille à légitimer la parole des migrants en province de Luxembourg

Basée à Rossignol, dans la province de Luxembourg, l’asbl « Histoire collective »1 développe depuis juin 2001 un projet de recherche sur lesmigrations humaines. Intitulé « Moi Migrant », il consiste à collecter, transcrire et restituer la parole de toute personne s’estimant migrante et vivant en provincede Luxembourg : travailleurs et ex-travailleurs d’origine étrangère, demandeurs d’asile, conjoints de mariage mixte, gens du voyage, résidents de camping, militairesrapatriés d’Allemagne, néerlandophones installés dans la province, travailleurs frontaliers…

« Proximam » : un partenariat pilote entre un IMP et une maison maternelle

Le projet pilote « Proximam1 » est né en 1995 de la conjugaison de deux problématiques, le handicap mental et la maternité, et de l’échange depratiques de deux institutions. A Wanfercée-Baulet, dans la Basse-Sambre, la maison maternelle Fernand Philippe2 accueille, depuis plus de vingt ans, des futures mamans et desmamans avec leurs enfants. A l’autre bout du pays, à Etalle (Gaume), l’institut médico-pédagogique « La Providence » prend en charge des enfantspré-psychotiques et débiles légers âgés de 3 à 18 ans.

Les groupes d’entraide d’étudiants dans les écoles sociales et pédagogiques à Charleroi

Dans le cadre d’un récent colloque qui présentait les groupes d’entraide en Région wallonne – ces groupes qui rassemblent des citoyens vivant les mêmesdifficultés –, Isabelle Abras, maître assistante dans la section « assistants sociaux » à la Haute école provinciale de l’Université du travail,accompagnée de quelques étudiants, a expliqué la dynamique du projet PAIRS (Projet-Aide-Intégration-Réseau-Soutien). Ce projet est expérimenté depuisdix ans dans quatre écoles de travail social (l’IPSMA1 à Charleroi, l’Université du Québec à Montréal, et l’Université de Montréalainsi que dans le département des Sciences de l’éducation de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscaminque).

« Politiques d’emploi et parcours d’insertion » : séminaire Fopès à Louvain-la-Neuve

La chaire Max Bastin (Fopès-UCL)1 présentait ce 31 janvier à Louvain-la-Neuve son 4e séminaire sur les nouvelles figures de la question socialeintitulé : « Politiques d’emploi et parcours d’insertion : et si on parlait des processus individuels et sociaux ? », les conclusions d’une recherche de Donatienne Desmette dans lecadre du Cerisis-UCL.

Les groupes d'entraide d'étudiants dans les écoles sociales et pédagogiques à Charleroi

Dans le cadre d’un récent colloque qui présentait les groupes d’entraide en Région wallonne – ces groupes qui rassemblent des citoyens vivant les mêmesdifficultés –, Isabelle Abras, maître assistante dans la section « assistants sociaux » à la Haute école provinciale de l’Université du travail,accompagnée de quelques étudiants, a expliqué la dynamique du projet PAIRS (Projet-Aide-Intégration-Réseau-Soutien). Ce projet est expérimenté depuisdix ans dans quatre écoles de travail social (l’IPSMA1 à Charleroi, l’Université du Québec à Montréal, et l’Université de Montréalainsi que dans le département des Sciences de l’éducation de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscaminque).

« Politiques d'emploi et parcours d'insertion » : séminaire Fopès à Louvain-la-Neuve

La chaire Max Bastin (Fopès-UCL)1 présentait ce 31 janvier à Louvain-la-Neuve son 4e séminaire sur les nouvelles figures de la question socialeintitulé : « Politiques d’emploi et parcours d’insertion : et si on parlait des processus individuels et sociaux ? », les conclusions d’une recherche de Donatienne Desmette dans lecadre du Cerisis-UCL.

Un salon Emploi-Formation au sein d'un quartier de cités sociales à Namur

À l’initiative conjointe de l’Espace communautaire des Balances1 et du Centre d’Action interculturelle2 s’est tenu pour la première fois un SalonEmploi-Formation au cœur même de la cité du quartier des Balances, située en bordure de Namur à Salzinnes. Le samedi 29 mars, quasi tous les services compétentsen matière d’emploi et de formation étaient présents dans l’Espace communautaire qui fait principalement office de Maison de jeunes. Les jeunes ont répondu timidementà cette opération peu coutumière, mais les organisateurs estiment que c’est un premier pas.

Un livre de contes créé à l’Atelier de LST à Namur : « Ferme les yeux, imagine… »

L’Atelier d’expression du mouvement namurois Luttes Solidarité Travail1, association de lutte contre la pauvreté, a produit avec les Éditions « LaRose des Vents » un livre de contes intitulé : Ferme les yeux, imagine…, quatre contes ponctués d’illustrations réalisées par les auteureselles-mêmes. Rêve d’Afrique par Blanche Waregne, Les oiseaux, par Myriam Dangreau, La chanson de Sarah par Marina Waregne, et L’arbre frère par Isabelle Van De Maelle,quatre contes comme quatre rêves où transparaît la vie de chacune comme une histoire universelle.

Forma : petite entreprise de formation par le travail pour les femmes sans expérience professionnelle

À Namur, une petite entreprise de formation par le travail s’est développée dans les secteurs du nettoyage et de la petite restauration. « Forma»1 permet aux femmes minimexées, chômeuses, sans ressources, et sans expérience professionnelle reconnue de trouver ou retrouver le droit à lasécurité sociale tout en se formant par la pratique. Un cycle de formation théorique leur permet de s’ouvrir culturellement et de s’affirmer psychologiquement etsocialement.

« Quartiers ouverts sur le social » : un kaléidoscope du social à l’IPFS à Namur

L’Institut provincial de formation sociale de Namur (enseignement de promotion sociale)1 a ouvert ce 24 mai les portes de son gigantesque campus à tout le secteurassociatif et social de la région « pour réunir ou provoquer la rencontre entre institutions du social tout en valorisant les liens tissés entre l’école etcelles-ci ». C’est la fusion opérée le 1er janvier 2003 avec l’École des Cadres (connue pour former les jeunes de 16 à 18 ans au monitorat) qui lui adonné l’occasion d’organiser cette journée intitulée « Quartiers ouverts sur le social ».

Le Cunic s’est penché sur l’évolution de l’accompagnement à la formation

La 8e Université d’été des formateurs d’adultes du Cunic1 s’est clôturée ce 29 août aux Facultés Notre-Dame de la Paix à Namur endécryptant l’évolution du métier de formateur dans sa dimension d’accompagnement.