Insalubre depuis des années, la tour Brunfaut sera enfin rénovée. L’asbl La Rue s’est chargée de faire entendre la voix des habitants à travers différentes actions de cohésion sociale. Un documentaire retraçant leurs conditions de vie avait d’ailleurs été réalisé par les locataires en partenariat avec le Centre vidéo de Bruxelles.

Le 25 février, le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a adopté la note d’orientation Jeunesse pour la législature. Trois points forts sont mis en avant par Isabelle Simonis. Comme une mise en bouche avant son interview à paraître dans le prochain numéro d’Alter Échos.

Du 23 février au 15 mars, les Agences Immobilières Sociales lancent leur campagne de sensibilisation annuelle. Objectif : augmenter le nombre de logements à loyer modéré à Bruxelles, tout en soulageant les propriétaires des tracas liés à la gestion de leur patrimoine, en leur assurant une sécurité absolue de revenus.

Un espace de conseils d’orientation et d’information sur la vie professionnelle tout en un, cela devrait être une réalité à Bruxelles d’ici à 2016. Au cœur de ce projet de service intégré: Actiris, Bruxelles Formation et VDAB Brussel. En Wallonie, Charleroi, Liège et Namur ont déjà bénéficié de ce label international.

Le mardi 3 février dernier, le Parlement bruxellois s’est animé. La question de la prostitution a donné lieu à une longue suite d’interpellations aux couleurs variées. Car les parlementaires avaient eu vent d’une récente étude, réalisée par l’Observatoire bruxellois pour la prévention et la sécurité (OBPS). Loin de résoudre l’éternel débat entre abolitionnisme, prohibitionnisme et réglementarisme, une unanimité se dégage néanmoins sur la nécessité de mettre sur pied une véritable coordination pour gérer la question au niveau régional.

L’Alter Échos n°397 est en ligne. Voici son édito.

Didier Gosuin est chargé de la Politique de la santé à la Cocom. Régionalisation, Plan de santé bruxellois sont au programme de la nouvelle législature.

Après dix-neuf ans de prison et dix de liberté conditionnelle, Jean-Marc Mahy, 47 ans, est devenu éducateur et homme de théâtre. L’art et la culture, assène-t-il, doivent aujourd’hui être envisagés comme des moyens de prévention et de réinsertion. À défaut de tourner la page, l’homme milite aujourd’hui pour les faire tourner à d’autres.

Former les travailleurs sociaux à détecter les signes du radicalisme: la proposition est dans l’air depuis les tragiques événements de janvier. Est-ce vraiment une bonne idée? Et surtout, est-ce vraiment leur rôle? Sur le terrain, le vrai défi semble être d’une autre nature: continuer à travailler sereinement dans un climat où les tensions et les divisions sociales sont exacerbées.

Une Cité des métiers à Bruxelles, cela devrait être une réalité d’ici à 2016. Au cœur de ce projet de service intégré: Actiris, Bruxelles Formation et VDAB Brussel. En Wallonie, Charleroi, Liège et Namur ont déjà bénéficié de ce label international.

Depuis 2012, un décret en Fédération Wallonie-Bruxelles réglemente l’organisation des «classes-passerelles», via le Daspa, un dispositif d’accueil et de scolarisation pour les élèves primo-arrivants, en leur proposant une étape de scolarisation intermédiaire d’une durée limitée, avant de retrouver une scolarisation classique. Mais, sur le terrain, les réalités varient et indiquent des difficultés que ce cadre politique n’a pas réglées.

Une balade en montagne, un atelier peinture, des cours de cuisine ou des fous rires sur la plage… Les jeunes, valides et moins valides, l’expérimentent en toute décontraction grâce à l’asbl Gratte. Loin des parents et entre potes, les différences s’atténuent.