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«C’est vraiment excellent. Vous devriez essayer. Chaque fois que je viens ici, je craque.»
«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.

Tiers-lieux en Wallonie: recréer du lien dans les villages
«Il fait froid dans le monde et ça commence à se savoir», chantait Brigitte Fontaine. Pour retrouver la chaleur des contacts dans des communes rurales qui ont perdu leur bistrot, leur boulangerie, leur bureau de poste, les initiatives citoyennes se multiplient. En France, cela s’appelle des tiers-lieux. C’est désormais aussi le cas en Wallonie où la Région a décidé de subventionner 23 projets. Petit tour des lieux.

Trouver sa place
La «théorie du contact» suppose qu’un contact interpersonnel avec une personne d’un groupe perçu comme différent réduit les préjugés vis-à-vis de l’ensemble du groupe. À travers la mise en place de «duos» entre personnes primo-arrivantes et locales, Interra, une jeune association liégeoise, met la théorie en pratique. Ici, le «migrant» n’est plus une figure abstraite: c’est Alexandra, Razek, Rahaf, Patricia… Grâce à son incubateur inclusif, Interra permet parallèlement à ces personnes de créer leur propre activité et de reprendre confiance en elles. Une initiative unique en Wallonie.

Entrepreunariat de subsistance
La «théorie du contact» suppose qu’un contact interpersonnel avec une personne d’un groupe perçu comme différent réduit les préjugés vis-à-vis de l’ensemble du groupe. À travers la mise en place de «duos» entre personnes primo-arrivantes et locales, Interra, une jeune association liégeoise, met la théorie en pratique. Ici, le «migrant» n’est plus une figure abstraite: c’est Alexandra, Razek, Rahaf, Patricia… Grâce à son incubateur inclusif, Interra permet parallèlement à ces personnes de créer leur propre activité et de reprendre confiance en elles. Une initiative unique en Wallonie.

Relation égalitaire
La «théorie du contact» suppose qu’un contact interpersonnel avec une personne d’un groupe perçu comme différent réduit les préjugés vis-à-vis de l’ensemble du groupe. À travers la mise en place de «duos» entre personnes primo-arrivantes et locales, Interra, une jeune association liégeoise, met la théorie en pratique. Ici, le «migrant» n’est plus une figure abstraite: c’est Alexandra, Razek, Rahaf, Patricia… Grâce à son incubateur inclusif, Interra permet parallèlement à ces personnes de créer leur propre activité et de reprendre confiance en elles. Une initiative unique en Wallonie.

Théorie du contact
La «théorie du contact» suppose qu’un contact interpersonnel avec une personne d’un groupe perçu comme différent réduit les préjugés vis-à-vis de l’ensemble du groupe. À travers la mise en place de «duos» entre personnes primo-arrivantes et locales, Interra, une jeune association liégeoise, met la théorie en pratique. Ici, le «migrant» n’est plus une figure abstraite: c’est Alexandra, Razek, Rahaf, Patricia… Grâce à son incubateur inclusif, Interra permet parallèlement à ces personnes de créer leur propre activité et de reprendre confiance en elles. Une initiative unique en Wallonie.

Rencontres arrangées contre les préjugés
La «théorie du contact» suppose qu’un contact interpersonnel avec une personne d’un groupe perçu comme différent réduit les préjugés vis-à-vis de l’ensemble du groupe. À travers la mise en place de «duos» entre personnes primo-arrivantes et locales, Interra, une jeune association liégeoise, met la théorie en pratique. Ici, le «migrant» n’est plus une figure abstraite: c’est Alexandra, Razek, Rahaf, Patricia… Grâce à son incubateur inclusif, Interra permet parallèlement à ces personnes de créer leur propre activité et de reprendre confiance en elles. Une initiative unique en Wallonie.

Interra : rencontres arrangées contre les préjugés
La «théorie du contact» suppose qu’un contact interpersonnel avec une personne d’un groupe perçu comme différent réduit les préjugés vis-à-vis de l’ensemble du groupe. À travers la mise en place de «duos» entre personnes primo-arrivantes et locales, Interra, une jeune association liégeoise, met la théorie en pratique. Ici, le «migrant» n’est plus une figure abstraite: c’est Alexandra, Razek, Rahaf, Patricia… Grâce à son incubateur inclusif, Interra permet parallèlement à ces personnes de créer leur propre activité et de reprendre confiance en elles. Une initiative unique en Wallonie.

Le retour du placard
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?

Vers un secteur social-santé « LGBTQIA+ friendly » ?
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?

Des refuges pour jeunes LGBT: une priorité?
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?

Les guerrières d’Yser
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?