François Milis est le fondateur d’Echos communication et de l’Effet papillon, une asbl qui propose un coaching individualisé aux jeunes migrants. Miguel de Clerck est le directeur d’Echos communication. Depuis 2012, l’ONG mène avec succès un projet-pilote de coaching communautaire au Maroc. Interview croisée autour de la notion de « capacitation ».

Dans le quartier maritime de Bruxelles se trouve un curieux laboratoire où l’on peut fabriquer (presque) tout. Cet espace, connu sous le nom de FabLab, est un atelier dédié à la fabrication numérique qui regroupe un ensemble de machines high tech capables de produire n’importe quel objet physique.

Faciliter des collaborations entre économie sociale et économie « classique » est un des défis de l’alliance emploi-environnement bruxelloise. Deux grappes mixtesd’entreprises ont été créées à cet effet.

Jusqu’au 31 mars, les dispositifs hivernaux sont renforcés pour accueillir les sans-abri la nuit. Quid du jour ?

A Bruxelles et en Wallonie, des associations accompagnent des jeunes filles à devenir mères tout en restant ados.

Faciliter des collaborations entre économie sociale et économie « classique » est un des défis de l’alliance emploi-environnement bruxelloise. Deux grappes mixtes d’entreprises ont été créées à cet effet.

Faciliter des collaborations entre économie sociale et économie « classique » est un des défis de l’alliance emploi-environnement bruxelloise. Deux grappes mixtes d’entreprises ont été créées à cet effet.

A Bruxelles et en Wallonie, des associations accompagnent des jeunes filles à devenir mères tout en restant ados.

Une évaluation des titres-services identifie les raisons de « sortie » du système par les travailleurs. Parmi elles : la faiblesse du salaire et la pénibilité du travail.

Les exclusions scolaires ne seraient-elles pas les symptômes d’une société malade de sa dualité ?

Les personnes d’origine turque ou marocaine vivant en Belgique vont de moins en moins chercher un ou une partenaire dans leur pays d’origine. C’est ce qui ressort d’une étude del’Université de Gand.

Si le placement des jeunes en IPPJ ou en centre fermé n’est qu’une parenthèse, il n’est pas question de les laisser livrés à eux-mêmes une foisla peine terminée.