#santé
La roue de l’infortune
Travailler pour une plateforme de livraison entraîne des risques quotidiens pour sa santé. Alors que les législateurs se révèlent incapables de réglementer le secteur et son modèle d’emploi basé sur la fausse indépendance et des assurances défaillantes, les travailleurs de Deliveroo ou Uber Eats restent livrés à eux-mêmes. Le tout pour un salaire de misère.
Pas tous égaux devant le don de sang
En Belgique, quand on est un homme ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes, c’est un peu la croix et la bannière pour donner son sang. Il faut en effet respecter un délai d’abstinence sexuelle de quatre mois. Si la mesure a longtemps été justifiée pour des raisons sanitaires, le milieu associatif estime qu’il est aujourd’hui temps de lever les restrictions appliquées aux donneurs homosexuels. Une revendication qui suscite pourtant le débat.
La quadruple peine des drépanocytaires
Avoir une maladie méconnue, ne pas oser le dire, souffrir de douleurs invisibles, être Noir: c’est la quadruple peine des patients atteints de drépanocytose. Caractérisée par une anomalie des globules rouges, cette maladie génétique – la plus répandue en Belgique – touche principalement les afrodescendants. Et révèle la persistance de malentendus culturels et de biais racistes dans les soins de santé.
Agents d’entretien: «Nous sommes les oubliettes de l’hôpital»
Tous les matins aux aurores, Marie, Claire, Olga, Toto et les autres arpentent les couloirs des hôpitaux pour ranger, dépoussiérer, ramasser, désinfecter. Bien qu’ils soient travailleurs de première ligne aux côtés du personnel soignant, leur action essentielle reste pourtant souvent invisibilisée. Alter Échos est parti à la rencontre de ces travailleuses et travailleurs de l’ombre.
Covid long : un parcours de soins coordonné à l’hôpital de Jolimont
En juin, l’hôpital de Jolimont à La Louvière a ouvert une clinique post-Covid. Un parcours de soins coordonnés, pluridisciplinaires et adaptés aux limites, envies et besoins de chacun des 84 patients.
«C’est un espace de liberté»
Direction l’Ardenne. Une fois par mois, le mardi, une centaine de personnes porteuses de handicap de la région de Malmedy se retrouvent pour danser, chanter ou simplement prendre un verre dans une discothèque unique en son genre en Wallonie. L’initiative, née en 2022, est portée par une équipe formidable, composée de bénévoles, d’éducateurs et assistants sociaux de la commune ardennaise.
« Trouver quelqu’un à qui parler »
Direction l’Ardenne. Une fois par mois, le mardi, une centaine de personnes porteuses de handicap de la région de Malmedy se retrouvent pour danser, chanter ou simplement prendre un verre dans une discothèque unique en son genre en Wallonie. L’initiative, née en 2022, est portée par une équipe formidable, composée de bénévoles, d’éducateurs et assistants sociaux de la commune ardennaise.
«On est tous différents, c’est ça qui est bien»
Direction l’Ardenne. Une fois par mois, le mardi, une centaine de personnes porteuses de handicap de la région de Malmedy se retrouvent pour danser, chanter ou simplement prendre un verre dans une discothèque unique en son genre en Wallonie. L’initiative, née en 2022, est portée par une équipe formidable, composée de bénévoles, d’éducateurs et assistants sociaux de la commune ardennaise.
«J’irai où tu iras»
Direction l’Ardenne. Une fois par mois, le mardi, une centaine de personnes porteuses de handicap de la région de Malmedy se retrouvent pour danser, chanter ou simplement prendre un verre dans une discothèque unique en son genre en Wallonie. L’initiative, née en 2022, est portée par une équipe formidable, composée de bénévoles, d’éducateurs et assistants sociaux de la commune ardennaise.
Groove Party : twist à Malmedy
Direction l’Ardenne et la Groove Party. Une fois par mois, le mardi, une centaine de personnes porteuses de handicap de la région de Malmedy se retrouvent pour danser, chanter ou simplement prendre un verre dans une discothèque unique en son genre en Wallonie. L’initiative, née en 2022, est portée par une équipe formidable, composée de bénévoles, d’éducateurs et d’assistants sociaux de la commune ardennaise.
Une salle agréable, des animateurs empathiques et du café
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.
Vivre malgré tout
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.