
#Medialab : Gouvernement Michel, chronique des premiers pas
Proposer à des travailleurs sociaux d’interroger des acteurs des politiques publiques, voilà bien une démarche qui ouvre les yeux. Surtout à l’heure où les politiques virent décidément à droite, exposant le social plus que depuis bien longtemps.
Anciens collaborateurs d’Alter Échos, nous sommes chargés d’un cours sur les enjeux des politiques publiques en 1er master en ingénierie et action sociales à l’IESSID, la catégorie sociale de la Haute École Paul-Henri Spaak à Bruxelles. Le cursus est à horaire décalé et les étudiants sont soit de futurs professionnels du social, soit des assistants sociaux en reprise d’études, ces derniers étant majoritaires. Nous avons mobilisé notre quarantaine d’étudiants dans un exercice d’interview. Alter Échos reprendrait les articles s’ils correspondaient à ses standards : les voici donc !
Bonne lecture !
Edgar Szoc et Thomas Lemaigre

L’habitat léger: en finir avec la brique dans le ventre
Système D ou éloge à la liberté, l’habitat léger, constitue un véritable changement dans l’art d’habiter. Mais ceux qui font ce choix aujourd’hui vivent souvent dans l’angoisse d’une visite des services de l’urbanisme.

Assistants sociaux: détecteurs de radicaux?
Toutes les deux semaines, Alter Échos passe l’actu sociale au décodeur. A la Une du dernier numéro : lutte contre le radicalisme et travail social.

Assistants sociaux : détecteurs de radicaux?
Lutter contre le radicalisme. Tandis que les uns prônent la création de cours de citoyenneté obligatoires à l’école, les autres insistent sur la «normalisation de la présence des citoyens musulmans » dans notre société. Les derniers – nos hommes et femmes politiques – élaborent çà et là leurs divers «plans d’action pour la prévention du radicalisme». Au sein de ces plans, on retrouve notamment cette idée, bien dans l’air du temps, du travailleur social, qui muterait en une espèce de «détecteur» des signes de radicalisation. Une proposition qui ne va pas sans poser question.

Au sommaire de l’Alter Échos n°396
Mobilisation et participation citoyennes, la vision de Paul Furlan, ministre wallon du Logement, «À l’école, dépasser le trouble de l’après-Charlie», la fin des CPAS flamands… Découvrez le sommaire du dernier Alter Échos.

Paul Furlan: «Rétablir de la mixité sociale à l’intérieur des sociétés de logement»
Pour Paul Furlan, nouveau ministre wallon du Logement, le constat est clair: le système actuel du logement public ne fonctionne pas. Quelles sont ses propositions? Il a répondu aux questions d’Alter Échos.

Quelles armes, citoyens ?
Nouveaux mouvements citoyens, consultations populaires : quelle véritable force de frappe?

Quelles armes, citoyens?
Face au système, certains mouvements citoyens rompent – jusqu’à un certain point en tout cas – avec le militantisme de parti ou syndical. Sur fond de crise économique, ces groupes tentent de mobiliser et de rassembler les foules pour faire entendre leur voix. De l’autre côté, à tous les étages, le monde politique crée de nouveaux mécanismes de consultation qui ont pour but d’associer de manière plus directe le citoyen à la décision politique. Le citoyen «lambda» est-il vraiment concerné, touché par ces (pas si nouvelles) formes de participation? Ces dernières ont-elles une véritable force de frappe?…

Le Who's who des cabinets
Alter Échos lance sa série d’interviews politiques. A chaque parution, un ministre en charge d’une matière couverte par Alter décortique avec nous les enjeux de son secteur. L’occasion aussi de rééditer notre Who’s who des cabinets et de faire la connaissance en quelques lignes avec les principaux responsables sur les thématiques sociales.

Au sommaire de l'Alter Échos n°395
Un dossier «Pauvre culture», une interview de Rachid Madrane, le point sur la réforme 107 ou encore sur les priorités de la cohésion sociale à Bruxelles… Découvrez le sommaire interactif de notre dernier numéro.

Pauvre Culture
Raréfaction de l’argent public, nouveau «management» de subsides, place du mécénat privé… Alter Échos s’est intéressé aux logiques économiques qui bouleversent le secteur culturel.

Le CPAS doit-il disparaître pour exister?
La rentrée s’annonce mouvementée pour les CPAS. Les financements manquent et certains CPAS sont dans l’obligation de mettre fin à des services pourtant indispensables à la population, avertit Bernard Antoine, qui nous adresse cette carte blanche. Le directeur général du CPAS de Montigny-le-Tilleul y tire la sonnette d’alarme. Faut-il que les CPAS disparaissent pour forcer la prise de conscience de leur utilité?