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Unia, mission non-discrimination
On l’a connu sous le nom de « Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme ». Il s’appelle aujourd’hui Unia, par souci de communication. Sa mission reste cependant la même : lutter contre les discriminations et promouvoir l’égalité des chances. Même si, depuis quelque temps, les enjeux pour la structure se sont multipliés. Petit tour du propriétaire en compagnie de quelques travailleurs.

Unia, mission non-discrimination
On l’a connu sous le nom de «Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme». Il s’appelle aujourd’hui Unia, par souci de communication. Sa mission reste cependant la même: lutter contre les discriminations et promouvoir l’égalité des chances.

Report des soins : une réalité toujours plus préoccupante
Selon Statistiek Vlaanderen, 2 % des Wallons et des Bruxellois ont reporté l’an dernier des soins médicaux, contre moins de 1 % en Flandre.

IA: un nom de code au masculin?
Des assistants vocaux à la voix suave, des images générées empreintes de clichés, des traductions genrées stéréotypées: les clichés sexistes n’épargnent pas l’intelligence artificielle, miroir de notre société.

Les algorithmes, avatars de la lutte contre la fraude sociale
Le croisement de données à caractère personnel entre administrations publiques est désormais courant pour lutter contre la fraude sociale. Mais les progrès technologiques ont poussé encore plus loin l’usage d’algorithmes antifraude, jusqu’à anticiper les «profils suspects». Un usage non sans risques de discrimination, a fortiori lorsqu’il s’opère dans l’opacité et loin de tout contrôle démocratique…

Le cycliste urbain, ce privilégié
Bobo, gentrificateur, mangeur de produits bio… Les images collant au cycliste urbain, singulièrement à Bruxelles, semblent parfois caricaturales. Pourtant, les chiffres sont là: aujourd’hui, le pédaleur bruxellois n’a rien d’un prolétaire et la pratique de la bicyclette a parfois tout d’un marqueur social. Et ce ne sont pas les nouveaux modèles de vélo en vogue qui vont arranger les choses…

Violences sexuelles, l’injuste prix
Agression ou harcèlement sexuel, viol, inceste: 64,1 % de la population belge âgée de 16 à 69 ans indiquent avoir déjà subi une forme ou une autre de violence sexuelle, selon une étude de l’UGent. Ces traumatismes laissent des cicatrices, tant au niveau du corps qu’au niveau de l’esprit. Pour espérer les apaiser, traitements médicamenteux, suivi psychologique ou encore poursuites judiciaires sont souvent de mise. Un chemin vers la justice et une résilience potentielle qui engendrent des frais immenses. Tant pour les victimes que pour la société.

La culture au centre
Malgré les obstacles administratifs, financiers, géographiques et de mobilité, les centres culturels rivalisent d’imagination pour assurer au maximum l’accès à la culture pour tous. Mais ils réclament du soutien…

L’arg€nt en j€u
Si comme on a coutume de le dire, l’argent est le nerf de la guerre, chez certains, c’est une guerre contre soi-même que l’argent innerve: les joueurs compulsifs, accros aux jeux d’argent. Leur dépendance active le même circuit neurobiologique [...]

Emploi et discrimination: le handicap en tête
Quand on est en situation de handicap à Bruxelles, accéder à l’emploi et s’y maintenir constitue parfois un parcours du combattant. Parcours scolaire tout tracé, accès à l’emploi et accompagnement difficile, maintien au travail teinté de discrimination, la liste des obstacles est longue. Aujourd’hui pourtant, des structures travaillent à l’insertion des personnes porteuses de handicap sur le marché du travail et Actiris s’empare de la question. Reste à savoir si tout cela va fonctionner correctement…

Dans les placards du gouvernement, les astreintes
Lorsqu’elles s’accumulent, les astreintes virent au symbole. Une sorte d’étalon pour mesurer les crises démocratiques que traverse la Belgique. Au moment de faire les comptes de la Vivaldi, Alter Échos en profite pour interroger l’efficacité et les limites de ces sanctions pécuniaires.

Pas tous égaux devant le don de sang
En Belgique, quand on est un homme ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes, c’est un peu la croix et la bannière pour donner son sang. Il faut en effet respecter un délai d’abstinence sexuelle de quatre mois. Si la mesure a longtemps été justifiée pour des raisons sanitaires, le milieu associatif estime qu’il est aujourd’hui temps de lever les restrictions appliquées aux donneurs homosexuels. Une revendication qui suscite pourtant le débat.