#Wallonie

La fatigue
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.

Perdu comme le Petit Chaperon Rouge
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.

Un lieu de paroles, d’échanges d’expériences
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante ? En en parlant avec ceux qui la vivent. Ou en les écoutant tout simplement. Les Alzheimer Cafés sont comme une escale dans un long parcours dont on connaît la fin. Un moment de solidarité, où l’on tente d’apprendre « à vivre avec ». On essaie en tout cas.

Les piscines boivent la tasse
Peu importe la région ou le réseau d’enseignement, le cours de natation finit souvent par tomber à l’eau. Dans de nombreuses écoles, l’apprentissage a carrément disparu alors que la natation figure au programme jusqu’en 3e secondaire. En Wallonie comme à Bruxelles, le nombre de bassins est insuffisant – on en recense moins de 200 en Fédération Wallonie-Bruxelles. Un manque criant d’infrastructures auquel s’ajoutent des coûts de transport trop élevés pour les écoles comme les parents.

Des voix au-dedans de soi
Entendre des voix a longtemps été considéré par la psychiatrie comme un symptôme à éradiquer et une signature de la folie. Pourtant, jusqu’à 25% de la population pourrait faire cette expérience au cours de sa vie. Né à la [...]

Alzheimer Cafés : Ne pas perdre le fil
Avec l’Alzheimer, on ne fait pas que perdre le fil de la mémoire. Celui qui lie le malade à ses proches peut aussi s’effilocher, se casser. Comment surmonter la peur, comment affronter le tabou d’une maladie en progression constante [...]

Un dernier hommage
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.

Collaboration entre services sociaux et administrations
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.

Les dernières volontés, un droit pour tous
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.

L’impossible deuil
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.

Donner un nom aux morts de la rue
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.

Inégalités jusqu’à la mort
En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.