#Wallonie

En marge de ses indices de pauvreté, Farciennes bouge
Petite entité wallonne du bassin de Charleroi, Farciennes porte encore les traces de son passé minier. Malgré de multiples investissements ces vingt dernières années, la commune reste l’une des plus précarisées du pays.

L’envolée des habitats légers
Si le décret de 2019 reconnaissant cette manière d’habiter a facilité son acceptation au sein de la société, s’installer reste un véritable parcours du combattant. Cette légalisation aurait en revanche ouvert la voie à une certaine forme de marchandisation, avec le risque de rendre ces habitations inaccessibles pour beaucoup.

Entre Flamands et francophones, deux modèles différents pour avorter
En Belgique, les lieux hors hôpitaux où il est possible d’avorter diffèrent d’une région à l’autre. En Flandre, les soins sont centralisés dans quelques cliniques spécialisées. Alors qu’en Wallonie et à Bruxelles, l’avortement est intégré au sein des centres de planning familial. Ces différences d’approche reflètent des trajectoires politiques, sociales et culturelles divergentes.

Housing First: aider les jeunes en errance à devenir locataires
En Belgique, Housing First existe, et fonctionne, depuis 2012, avec désormais une attention spécifique portée au public jeune. Il s’agit de résoudre le sans-abrisme par l’accès au logement individuel. Mais comment s’y prendre lorsque le marché locatif est ultra-saturé? [...]

Vivre sa vie
Direction Libramont au sein du service Maison Arc-en-Ciel du Centre d’action laïque de la province de Luxembourg. Sa spécificité depuis 2014 est d’organiser des groupes de paroles pour les demandeurs et demandeuses de protection internationale LGBTQIA+. Chaque mois, une trentaine de personnes, la plupart originaires d’Afrique, se retrouvent dans un endroit «safe» où ils et elles peuvent être libres le temps d’une après-midi.

S’engager pour les autres
Direction Libramont au sein du service Maison Arc-en-Ciel du Centre d’action laïque de la province de Luxembourg. Sa spécificité depuis 2014 est d’organiser des groupes de paroles pour les demandeurs et demandeuses de protection internationale LGBTQIA+. Chaque mois, une trentaine de personnes, la plupart originaires d’Afrique, se retrouvent dans un endroit «safe» où ils et elles peuvent être libres le temps d’une après-midi.
Direction Libramont au sein du service Maison Arc-en-Ciel du Centre d’action laïque de la province de Luxembourg. Sa spécificité depuis 2014 est d’organiser des groupes de paroles pour les demandeurs et demandeuses de protection internationale LGBTQIA+. Chaque mois, une trentaine de personnes, la plupart originaires d’Afrique, se retrouvent dans un endroit «safe» où ils et elles peuvent être libres le temps d’une après-midi.

Garder la tête haute
Direction Libramont au sein du service Maison Arc-en-Ciel du Centre d’action laïque de la province de Luxembourg. Sa spécificité depuis 2014 est d’organiser des groupes de paroles pour les demandeurs et demandeuses de protection internationale LGBTQIA+. Chaque mois, une trentaine de personnes, la plupart originaires d’Afrique, se retrouvent dans un endroit «safe» où ils et elles peuvent être libres le temps d’une après-midi.

Un espace safe et bienveillant
Direction Libramont au sein du service Maison Arc-en-Ciel du Centre d’action laïque de la province de Luxembourg. Sa spécificité depuis 2014 est d’organiser des groupes de paroles pour les demandeurs et demandeuses de protection internationale LGBTQIA+. Chaque mois, une trentaine de personnes, la plupart originaires d’Afrique, se retrouvent dans un endroit «safe» où ils et elles peuvent être libres le temps d’une après-midi.

Là où naissent les arcs-en-ciel : le parcours des migrants LGBTQIA + en Wallonie
Direction Libramont au sein du service Maison Arc-en-Ciel du Centre d’action laïque de la province de Luxembourg. Sa spécificité depuis 2014 est d’organiser des groupes de parole pour les demandeurs et demandeuses de protection internationale LGBTQIA+. Chaque mois, une trentaine de personnes, la plupart originaires d’Afrique, se retrouvent dans un endroit «safe» où ils et elles peuvent être libres le temps d’une après-midi.

Les blessures se logent à l’endroit de nos silences
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.

L’arbre de vie
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.

S’ancrer et s’ouvrir aux apprentissages
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.