#Bruxelles
FGTB Centre : dérives dans le plan d’accompagnement des chômeurs
Appliqué depuis juillet 2004, le plan Vandenbroucke, qui vise le contrôle de la disponibilité des chômeurs sur le marché de l’emploi, ne fait pasl’unanimité. Les entretiens, pour les moins de 30 ans, ont débuté en octobre 2004. Alors que la deuxième phase, réservée aux 30-40 ans avec vingt et unmois de chômage, vient de débuter, la FGTB du Centre1 tire la sonnette d’alarme quant aux conditions dans lesquelles se sont déroulés ou sedéroulent encore les entretiens. Une rencontre citoyenne était organisée le 9 septembre, en présence du ministre régional de l’Économie et del’Emploi, Jean-Claude Marcourt (PS)2, à Haine-Saint-Paul, en présence de nombreux accompagnateurs et demandeurs d’emploi.
Bilan des premières actions de validation des compétences
Après de longues années de préparation, le dispositif de validation des compétences est enfin opérationnel en Wallonie et à Bruxelles. Si ses acteurss’accordent pour dire qu’il est encore en phase de rodage, un cap symbolique a cependant été franchi cet été avec l’organisation des premières épreuves devalidation. Premier bilan partiel en compagnie d’Alain Kock, directeur de la cellule exécutive du Consortium de validation des compétences, chargée de coordonner la mise enœuvre concrète du dispositif1.
Incendies et expulsions à Paris : regard en miroir
Fin de l’été, les incendies à Paris ont à nouveau posé les problématiques des logements insalubres et de la crise du logement. En corollaire surgit laquestion des expulsions d’étrangers qui en ont résulté.
Égalité des femmes et des hommes : rapprocher Mars de Vénus
Vendredi 9 septembre, l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes1, en partenariat avec la Région de Bruxelles-Capitale et la Ville de Bruxelles,invitait un panel de chercheurs à éclairer le rôle des hommes face au changement dans les relations hommes-femmes. Entre évolutions marginales et stagnationgénérale.
Pacte associatif : juste avant les premiers pas de danse
Le pacte associatif a sa méthodologie. Le gouvernement conjoint Région wallonne – Communauté française du 7 juillet dernier en a fixé les grands principes(voir Alter Échos n° 191, p. 29), suivi le 30 août par le gouvernement bruxellois. Pour rappel, des consultations sont prévues d’ici fin octobre. Un projet depacte sera sur la table des gouvernements à la fin de l’année. S’ensuivront débats parlementaires et concertations au sein des conseils d’avis concernés.L’adoption du pacte est attendue pour juin 2006. Au-delà de la signature d’un cadre général, il s’agira de relire et, le cas échéant,d’adapter les décrets fondateurs, secteur par secteur, aux principes du pacte.
Comment financer l'accord non-marchand à Bruxelles ?
La situation plus que précaire du budget de la Cocof n’est plus à révéler. Ce qui, en revanche, demeure à préciser, ce sont les conséquencesprécises de cet état de fait sur les secteurs gérés par l’entité, au premier rang desquels, le non-marchand. Paradoxalement, c’estprécisément à Bruxelles que les accords « non-marchand » 2000-2004 ont été le plus complètement mis en œuvre (à 99 % si l’on en croitBenoît Cerexhe, président du gouvernement de la Cocof, CDH). Les possibilités de financement d’un nouvel accord – et, en amont même, les possibilités definancer, dans le futur, les engagements de l’accord 2000-2004 – étaient au centre des dernières sessions du Parlement francophone bruxellois (la nouvelle appellationofficieuse de l’assemblée de la Commission communautaire française).
Quartier du Midi : la « confestation » s’installe
Quoi de neuf dans le quartier du Midi, depuis la lettre ouverte d’habitants au ministre-président de la Région bruxelloise et l’interpellation de ce dernier au Parlementbruxellois (voir Alter Échos n° 189) ?
Comment financer l’accord non-marchand à Bruxelles ?
La situation plus que précaire du budget de la Cocof n’est plus à révéler. Ce qui, en revanche, demeure à préciser, ce sont les conséquencesprécises de cet état de fait sur les secteurs gérés par l’entité, au premier rang desquels, le non-marchand. Paradoxalement, c’estprécisément à Bruxelles que les accords « non-marchand » 2000-2004 ont été le plus complètement mis en œuvre (à 99 % si l’on en croitBenoît Cerexhe, président du gouvernement de la Cocof, CDH). Les possibilités de financement d’un nouvel accord – et, en amont même, les possibilités definancer, dans le futur, les engagements de l’accord 2000-2004 – étaient au centre des dernières sessions du Parlement francophone bruxellois (la nouvelle appellationofficieuse de l’assemblée de la Commission communautaire française).
Les titres-services vus par la FGTB : un peu de rose et beaucoup de noir
Dans un numéro récent de la Revue Politique, le directeur du bureau d’études de la FGTB Bruxelles, Eric Buyssens, affirmait que les titres-services (T-S) avaientété pervertis et mis au service d’une logique de précarisation et de flexibilisation du travail. Une vision qu’il n’est visiblement pas le seul à nourrir au sein de sonorganisation. La FGTB vient en effet de présenter les résultats d’une enquête menée par sa Coordination titres-services (constituée de quatre centralesprofessionnelles : Centrale générale, Setca, Alimentation-Horeca-Services, Textile)1. C’est un euphémisme de dire que ses conclusions sont moins roses que celles del’enquête réalisée par Idea Consult sur le même sujet.
Eole : un partenariat entre Agoria et quatre écoles bruxelloises
La fédération bruxelloise d’Agoria (ex-Fabrimetal) et quatre écoles bruxelloises (l’Institut des Arts et Métiers, l’Institut technique Cardinal Mercier,l’Athénée royal Marcel Tricot et le Technisch Instituut Don Bosco) lancent, à partir du début de cette année scolaire, un projet pilote relatif à «l’actualisation des programmes pédagogiques », au « partage des infrastructures » ainsi qu’à « la mise en place de stages pour le corps enseignant et lesélèves dans les entreprises ». Un partenariat qui peut renforcer la qualité de la formation1. Mais encouragera-t-il plus de jeunes à se diriger vers lesmétiers tels que soudeur ou « mécanicien-automaticien » ?
Le surendettement en recul au cours de l'année 2004
La Banque nationale publie annuellement une brochure spécifique offrant un aperçu du nombre et de l’évolution des contrats et des personnes enregistrés dans la Centraledes crédits aux particuliers1. Pour l’année 2004, le nombre de personnes en défaut de paiement a régressé – ce qui confirme une tendanceamorcée en 2003. Quant au montant total des arriérés, il est lui à la baisse pour la première fois depuis la constitution de la Centrale.
Le surendettement en recul au cours de l’année 2004
La Banque nationale publie annuellement une brochure spécifique offrant un aperçu du nombre et de l’évolution des contrats et des personnes enregistrés dans la Centraledes crédits aux particuliers1. Pour l’année 2004, le nombre de personnes en défaut de paiement a régressé – ce qui confirme une tendanceamorcée en 2003. Quant au montant total des arriérés, il est lui à la baisse pour la première fois depuis la constitution de la Centrale.