Alter Échosr
Regard critique · Justice sociale
elio germani

« Si les femmes s’arrêtent, le monde s’arrête » : c’est avec ce message que les femmes ont été appelées ce 8 mars, Journée
internationale des droits des femmes, à faire grève. Ne pas se rendre au travail, cesser les tâches domestiques, ne pas consommer, ne pas étudier… Mais aussi faire la grève du soin aux autres, ce travail invisible encore largement aux mains des femmes. Et à la place : se retrouver, se solidariser et revendiquer ses droits. Le Collecti.e.f 8 maars – composé d’une centaine de femmes de tous horizons – s’est inspiré de la grève espagnole de l’an dernier, qui a rassemblé plus de 5 millions de femmes dans les rues d’Espagne. FGTB et CSC ont soutenu l’action. La journée de mobilisation a été ponctuée d’actions symboliques et de débats aux
quatre coins de la Belgique. Elle s’est terminée par une manifestation à Bruxelles qui a rassemblé 15.000 personnes.

Une photo d’Elio Germani

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