Au lendemain des attentats bruxellois, la ministre Isabelle Simonis a présenté onze mesures de lutte contre la radicalisation des jeunes. Ces mesures préventives s’appuient essentiellement sur le secteur jeunesse.
Par un étrange hasard, la ministre de la Jeunesse, Isabelle Simonis, a présenté son plan de lutte contre le radicalisme au lendemain des attentats de Bruxelles, le 23 mars. «À côté du volet répressif, l’autre enjeu de taille de la lutte contre les radicalismes se situe en amont, dans la prévention et le projet de société porté et proposé aux citoyens et aux jeunes», a-t-on pu lire dans son communiqué de presse.
Les onze mesures préventives qu’elle a fait adopter par le gouvernement, dans le cadre d’un plan plus vaste de prévention du radicalisme que la Fédération Wallonie-Bruxelles a lancé en 2015, s’adressent donc aux jeunes. Elles partent du constat que «269 Belges» étaient comptabilisés en Syrie en 2015 par l’organisme de coordination et d’analyse de la menace (l’Ocam). Et, plus largement, ce plan fait écho aux préoccupations d’un secteur jeunesse qui fait l’aveu, selon l’équipe de la ministre, «d’une faiblesse des relations de confiance entre jeunes et professionnels».
Ces mesures se situent dans le prolongement des «réflexions et actions menées depuis 2015» par la ministre. En effet, l’an passé, près de 200 acteurs de terrain du secteur ont assisté à quatre form...
La suite de cet article est réservé à nos abonnés
Abonnez-vous et accédez à l'intégralité de nos contenus et archives en ligne
Déjà abonné ?
Aller plus loin
Au lendemain des attentats bruxellois, la ministre Isabelle Simonis a présenté onze mesures de lutte contre la radicalisation des jeunes. Ces mesures préventives s’appuient essentiellement sur le secteur jeunesse.
Par un étrange hasard, la ministre de la Jeunesse, Isabelle Simonis, a présenté son plan de lutte contre le radicalisme au lendemain des attentats de Bruxelles, le 23 mars. «À côté du volet répressif, l’autre enjeu de taille de la lutte contre les radicalismes se situe en amont, dans la prévention et le projet de société porté et proposé aux citoyens et aux jeunes», a-t-on pu lire dans son communiqué de presse.
Les onze mesures préventives qu’elle a fait adopter par le gouvernement, dans le cadre d’un plan plus vaste de prévention du radicalisme que la Fédération Wallonie-Bruxelles a lancé en 2015, s’adressent donc aux jeunes. Elles partent du constat que «269 Belges» étaient comptabilisés en Syrie en 2015 par l’organisme de coordination et d’analyse de la menace (l’Ocam). Et, plus largement, ce plan fait écho aux préoccupations d’un secteur jeunesse qui fait l’aveu, selon l’équipe de la ministre, «d’une faiblesse des relations de confiance entre jeunes et professionnels».
Ces mesures se situent dans le prolongement des «réflexions et actions menées depuis 2015» par la ministre. En effet, l’an passé, près de 200 acteurs de terrain du secteur ont assisté à quatre form...
La suite de cet article est réservé à nos abonnés
Abonnez-vous et accédez à l'intégralité de nos contenus et archives en ligne
Déjà abonné ?
En savoir plus
Au lendemain des attentats bruxellois, la ministre Isabelle Simonis a présenté onze mesures de lutte contre la radicalisation des jeunes. Ces mesures préventives s’appuient essentiellement sur le secteur jeunesse.
Par un étrange hasard, la ministre de la Jeunesse, Isabelle Simonis, a présenté son plan de lutte contre le radicalisme au lendemain des attentats de Bruxelles, le 23 mars. «À côté du volet répressif, l’autre enjeu de taille de la lutte contre les radicalismes se situe en amont, dans la prévention et le projet de société porté et proposé aux citoyens et aux jeunes», a-t-on pu lire dans son communiqué de presse.
Les onze mesures préventives qu’elle a fait adopter par le gouvernement, dans le cadre d’un plan plus vaste de prévention du radicalisme que la Fédération Wallonie-Bruxelles a lancé en 2015, s’adressent donc aux jeunes. Elles partent du constat que «269 Belges» étaient comptabilisés en Syrie en 2015 par l’organisme de coordination et d’analyse de la menace (l’Ocam). Et, plus largement, ce plan fait écho aux préoccupations d’un secteur jeunesse qui fait l’aveu, selon l’équipe de la ministre, «d’une faiblesse des relations de confiance entre jeunes et professionnels».
Ces mesures se situent dans le prolongement des «réflexions et actions menées depuis 2015» par la ministre. En effet, l’an passé, près de 200 acteurs de terrain du secteur ont assisté à quatre form...