On les appelle des «capteurs de logements». Leur cible, c’est le petit studio ou l’appartement pas trop cher, pas trop délabré pour (re)loger des personnes sans domicile ou dans des habitations insalubres. Ils sont six en Wallonie et deux à Bruxelles. À première vue, la manière de travailler, les obstacles, les outils utilisés semblent être les mêmes partout. Le parcours individuel aussi. Mais au fil de ce voyage qui va de Liège à Bruxelles en passant par Namur et Charleroi, les particularités s’affirment. Les couleurs des villes ne sont pas les mêmes. Les zones d’ombre et de lumière non plus. Ce mois-ci, Focales vous propose un portrait tout en nuances de chasseurs de ce bien essentiel qu’est le logement. Par Martine Vandemeulebroucke – Photos: Alex GD, Pierre Vanneste, Ali Selvi (Collectif Krasnyi).


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