L’appli – belge — «NextRide» a été téléchargée 500.000 fois. Elle vous indique les horaires des TEC et de la STIB, mais aussi les perturbations ou les véhicules complets. En 2017, après la STIB, TEC et SNCB libéreront à leur tour le «temps réel» de leur réseau. Un nouveau défi pour NexRide et pour son jeune patron autodictate, Thomas Hermine.
Il arrive en retard au rendez-vous. Pas grand-chose, 15 minutes et une bonne excuse en poche: le TEC fait grève. Thomas Hermine n’a pas eu à prendre le bus wallon pour se rendre au centre de Bruxelles, mais son appli «NextRide» informe à la minute ses utilisateurs de chaque désagrément. Et les utilisateurs sont nombreux: 520.000 personnes ont téléchargé «NextRide». À la rentrée scolaire 2016-2017, un étudiant sur sept l’utiliserait. Pas mal pour une app développée par un autodidacte dans sa chambre.
«Notre app sera toujours gratuite. On préfère l’arrêter plutôt que de la rendre payante.» Thomas Hermine, NextRide
Thomas Hermine voyage en bus à Liège. Toujours les mêmes lignes. Il se bricole une appli qui reprend les lignes qu’il utilise. Celles du centre, celles qui le ramènent dans son quartier de Saint-Nicolas. L’application, alors baptisée «ProchainBus», annonce les venues et correspondances des bus publics wallons. Utiliser ces données est-il alors légal? Impossible à dire. «Les données étaient publiques mais elles n’étaient pas libérée...
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L’appli – belge — «NextRide» a été téléchargée 500.000 fois. Elle vous indique les horaires des TEC et de la STIB, mais aussi les perturbations ou les véhicules complets. En 2017, après la STIB, TEC et SNCB libéreront à leur tour le «temps réel» de leur réseau. Un nouveau défi pour NexRide et pour son jeune patron autodictate, Thomas Hermine.
Il arrive en retard au rendez-vous. Pas grand-chose, 15 minutes et une bonne excuse en poche: le TEC fait grève. Thomas Hermine n’a pas eu à prendre le bus wallon pour se rendre au centre de Bruxelles, mais son appli «NextRide» informe à la minute ses utilisateurs de chaque désagrément. Et les utilisateurs sont nombreux: 520.000 personnes ont téléchargé «NextRide». À la rentrée scolaire 2016-2017, un étudiant sur sept l’utiliserait. Pas mal pour une app développée par un autodidacte dans sa chambre.
«Notre app sera toujours gratuite. On préfère l’arrêter plutôt que de la rendre payante.» Thomas Hermine, NextRide
Thomas Hermine voyage en bus à Liège. Toujours les mêmes lignes. Il se bricole une appli qui reprend les lignes qu’il utilise. Celles du centre, celles qui le ramènent dans son quartier de Saint-Nicolas. L’application, alors baptisée «ProchainBus», annonce les venues et correspondances des bus publics wallons. Utiliser ces données est-il alors légal? Impossible à dire. «Les données étaient publiques mais elles n’étaient pas libérée...