Créé il y a six mois dans le cadre des groupes de travail de la plateforme «Tout Autre Chose», l’Observatoire critique des médias belge s’inspire du site français Acrimed[1]. Son travail se structure autour de trois axes, avec une position plus avancée sur le renouvellement du contrat de gestion de la RTBF.
Quel point commun y a-t-il entre la SNCB et la critique des médias en Belgique? En mars 2016, des militants de Tout Autre Chose distribuaient dans les gares une fausse édition du journal Métro sur la SNCB. «On voulait proposer un discours sur le rail différent de celui qu’on entend habituellement dans les médias», explique Olivier Malay qui a coordonné l’opération.
Un an plus tard, ce jeune doctorant de l’UCL coordonne avec Robin Van Leeckwijck l’Observatoire critique des médias qui a vu le jour fin 2016 au sein de la plateforme Tout Autre Chose. «On a lancé un événement Facebook en décembre 2016 sur le thème ‘Créons un Acrimed à la belge’», se souvient Robin Van Leeckwijck, ancien étudiant en Information et Communication de l’ULB qui a réalisé son mémoire sur la communication des mouvements sociaux. Une soixantaine de personnes répondent à l’appel. Le groupe est lancé.
«Le groupe ‘télévision’ est clairement le groupe le plus avancé et le plus revendicatif.» Olivier Malay, Tout Autre Chose
Six mois plus tard, elles sont encore une trentaine à se rassembler tous les mois. D’a...
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Créé il y a six mois dans le cadre des groupes de travail de la plateforme «Tout Autre Chose», l’Observatoire critique des médias belge s’inspire du site français Acrimed[1]. Son travail se structure autour de trois axes, avec une position plus avancée sur le renouvellement du contrat de gestion de la RTBF.
Quel point commun y a-t-il entre la SNCB et la critique des médias en Belgique? En mars 2016, des militants de Tout Autre Chose distribuaient dans les gares une fausse édition du journal Métro sur la SNCB. «On voulait proposer un discours sur le rail différent de celui qu’on entend habituellement dans les médias», explique Olivier Malay qui a coordonné l’opération.
Un an plus tard, ce jeune doctorant de l’UCL coordonne avec Robin Van Leeckwijck l’Observatoire critique des médias qui a vu le jour fin 2016 au sein de la plateforme Tout Autre Chose. «On a lancé un événement Facebook en décembre 2016 sur le thème ‘Créons un Acrimed à la belge’», se souvient Robin Van Leeckwijck, ancien étudiant en Information et Communication de l’ULB qui a réalisé son mémoire sur la communication des mouvements sociaux. Une soixantaine de personnes répondent à l’appel. Le groupe est lancé.
«Le groupe ‘télévision’ est clairement le groupe le plus avancé et le plus revendicatif.» Olivier Malay, Tout Autre Chose
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Quel point commun y a-t-il entre la SNCB et la critique des médias en Belgique? En mars 2016, des militants de Tout Autre Chose distribuaient dans les gares une fausse édition du journal Métro sur la SNCB. «On voulait proposer un discours sur le rail différent de celui qu’on entend habituellement dans les médias», explique Olivier Malay qui a coordonné l’opération.
Un an plus tard, ce jeune doctorant de l’UCL coordonne avec Robin Van Leeckwijck l’Observatoire critique des médias qui a vu le jour fin 2016 au sein de la plateforme Tout Autre Chose. «On a lancé un événement Facebook en décembre 2016 sur le thème ‘Créons un Acrimed à la belge’», se souvient Robin Van Leeckwijck, ancien étudiant en Information et Communication de l’ULB qui a réalisé son mémoire sur la communication des mouvements sociaux. Une soixantaine de personnes répondent à l’appel. Le groupe est lancé.
«Le groupe ‘télévision’ est clairement le groupe le plus avancé et le plus revendicatif.» Olivier Malay, Tout Autre Chose
Six mois plus tard, elles sont encore une trentaine à se rassembler tous les mois. D’a...