Le parcours d'accueil des primo-arrivants a été adopté en commission du Parlement wallon. Comme prévu, ce parcours sera divisé en deux phases, dont une obligatoire. Les centres régionaux d'intégration seront au cœur du dispositif.
Après son adoption par le gouvernement wallon, le parcours d'accueil des primo-arrivants a été voté en commission du Parlement, à Namur, le 11 mars 2014. Selon Éliane Tillieux, ministre de la Santé, de l'Action sociale et de l’Égalité des chances, ce parcours devrait concerner « 7 000 personnes par an ».
On connaît aujourd'hui les contours définitifs du dispositif. Il concernera tous les étrangers qui s'installeront en Wallonie... à l'exception des Européens, mais aussi des chefs d'entreprise ou des sportifs de haut niveau. Quant aux demandeurs d'asile, « ils pourront suivre le parcours, mais sur base facultative », nous informe Edwine Bodart, attachée de presse d'Éliane Tillieux.
La première phase du parcours sera obligatoire. Elle consistera principalement en un « bilan social » ou « premier accueil ». Le primo-arrivant sera convié dans les trois mois qui suivent son inscription à la commune, dans un centre régional d'intégration (CRI) pour faire le point sur sa situation. Une première information – très courte – sur ses droits et devoirs lui sera prodiguée. Petit bilan linguistique, identification des besoins – en matière de formation, d'emploi –, ...
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Le parcours d'accueil des primo-arrivants a été adopté en commission du Parlement wallon. Comme prévu, ce parcours sera divisé en deux phases, dont une obligatoire. Les centres régionaux d'intégration seront au cœur du dispositif.
Après son adoption par le gouvernement wallon, le parcours d'accueil des primo-arrivants a été voté en commission du Parlement, à Namur, le 11 mars 2014. Selon Éliane Tillieux, ministre de la Santé, de l'Action sociale et de l’Égalité des chances, ce parcours devrait concerner « 7 000 personnes par an ».
On connaît aujourd'hui les contours définitifs du dispositif. Il concernera tous les étrangers qui s'installeront en Wallonie... à l'exception des Européens, mais aussi des chefs d'entreprise ou des sportifs de haut niveau. Quant aux demandeurs d'asile, « ils pourront suivre le parcours, mais sur base facultative », nous informe Edwine Bodart, attachée de presse d'Éliane Tillieux.
La première phase du parcours sera obligatoire. Elle consistera principalement en un « bilan social » ou « premier accueil ». Le primo-arrivant sera convié dans les trois mois qui suivent son inscription à la commune, dans un centre régional d'intégration (CRI) pour faire le point sur sa situation. Une première information – très courte – sur ses droits et devoirs lui sera prodiguée. Petit bilan linguistique, identification des besoins – en matière de formation, d'emploi –, ...