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Regard critique · Justice sociale

Economie

Quelques coopératives autour d’un Brasero

Les coopératives wallonnes disposent depuis peu d’un dispositif pour les soutenir financièrement. Son nom: Brasero.

18-08-2015

Les coopératives wallonnes disposent depuis peu d’un dispositif pour les soutenir financièrement. Son nom: Brasero.
Les coopératives, c’est tendance à l’heure actuelle. Jean-Claude Marcourt (PS), ministre wallon de l’Économie sociale, ne s’y est pas trompé. Il vient d’annoncer la création d’un dispositif de soutien au secteur. Son nom: Brasero. Le principe du projet est simple. Pour chaque euro apporté par les coopérateurs au capital de base, un euro supplémentaire sera mis sur la table par la Sowecsom (Société wallonne d’économie sociale marchande), en charge du suivi de la machinerie. Le tout pour des projets d’un montant de 60.000 euros au maximum – 100.000 euros pour les coopératives à finalité sociale.
Détail important: si Brasero vient d’être présenté, il existe en fait depuis le 11 décembre 2014, date de l’arrêté qui a entériné sa naissance. Les quelques mois de décalage seraient dus au temps qu’il a fallu pour passer un marché public pour la communication sur le sujet. Les grands moyens ont en effet été engagés: un site internet spécialement dédié au dispositif a été créé.
Un budget à moitié consommé
En six mois, Brasero a déjà fait du chemin. La moitié du budget prévu pour 2014 – 1,140 million d’euros – serait déjà consommé, d’après la Sowecsom. Ce qui devrait amener le cabinet Marcourt à réinjecter 2,5 millions pour l’année 2015. Mais attention: «Il n’y a pas de limit...

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Les coopératives, c’est tendance à l’heure actuelle. Jean-Claude Marcourt (PS), ministre wallon de l’Économie sociale, ne s’y est pas trompé. Il vient d’annoncer la création d’un dispositif de soutien au secteur. Son nom: Brasero. Le principe du projet est simple. Pour chaque euro apporté par les coopérateurs au capital de base, un euro supplémentaire sera mis sur la table par la Sowecsom (Société wallonne d’économie sociale marchande), en charge du suivi de la machinerie. Le tout pour des projets d’un montant de 60.000 euros au maximum – 100.000 euros pour les coopératives à finalité sociale.
Détail important: si Brasero vient d’être présenté, il existe en fait depuis le 11 décembre 2014, date de l’arrêté qui a entériné sa naissance. Les quelques mois de décalage seraient dus au temps qu’il a fallu pour passer un marché public pour la communication sur le sujet. Les grands moyens ont en effet été engagés: un site internet spécialement dédié au dispositif a été créé.
Un budget à moitié consommé
En six mois, Brasero a déjà fait du chemin. La moitié du budget prévu pour 2014 – 1,140 million d’euros – serait déjà consommé, d’après la Sowecsom. Ce qui devrait amener le cabinet Marcourt à réinjecter 2,5 millions pour l’année 2015. Mais attention: «Il n’y a pas de limit...

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