Pendant les vacances, vingt jeunes ont répondu à l'invitation du Délégué général aux droits de l'Enfant pour travailler sur la pauvreté et les médias. Avec une belle visibilité à la clé.
On peut penser que ces vingt jeunes ont passé de bonnes vacances. Studieuses, certes. Mais enrichissantes. Âgés de 12 à 22 ans, ils ont travaillé sur la pauvreté, sur les médias et leur fonctionnement. Beaucoup d'écoute et d'échanges au programme.
L'évènement « Pauvreté, parlons-jeune » fait suite à « Syrie, parlons jeune ! » qui connut un franc succès en juin dernier. Le concept est simple : faire parler des jeunes sur des sujets d'actualité qui les touchent. Et faire passer cette parole dans des médias d'envergure. Une idée qui a germé du côté des bureaux du Délégué général aux droits de l'Enfant. Explications avec David Lallemand, chargé en communication pour le délégué : « Nous étions en quête de projets pour activer le droit à la participation, car c'est un concept flou. Il est difficile pour les adultes d'associer les jeunes à leurs décisions. Les jeunes devraient pouvoir donner leur avis sur d'autres sujets que la musique ou le sport. » Quant au public visé, les organisateurs prennent le parti d'organiser une mixité entre des « jeunes qui incarnent la thématique et d'autres jeunes. »
Pendant cinq jours, les participants se sont réunis à l'Auberge de jeunesse de La Plante à Namur. En fon...
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Pendant les vacances, vingt jeunes ont répondu à l'invitation du Délégué général aux droits de l'Enfant pour travailler sur la pauvreté et les médias. Avec une belle visibilité à la clé.
On peut penser que ces vingt jeunes ont passé de bonnes vacances. Studieuses, certes. Mais enrichissantes. Âgés de 12 à 22 ans, ils ont travaillé sur la pauvreté, sur les médias et leur fonctionnement. Beaucoup d'écoute et d'échanges au programme.
L'évènement « Pauvreté, parlons-jeune » fait suite à « Syrie, parlons jeune ! » qui connut un franc succès en juin dernier. Le concept est simple : faire parler des jeunes sur des sujets d'actualité qui les touchent. Et faire passer cette parole dans des médias d'envergure. Une idée qui a germé du côté des bureaux du Délégué général aux droits de l'Enfant. Explications avec David Lallemand, chargé en communication pour le délégué : « Nous étions en quête de projets pour activer le droit à la participation, car c'est un concept flou. Il est difficile pour les adultes d'associer les jeunes à leurs décisions. Les jeunes devraient pouvoir donner leur avis sur d'autres sujets que la musique ou le sport. » Quant au public visé, les organisateurs prennent le parti d'organiser une mixité entre des « jeunes qui incarnent la thématique et d'autres jeunes. »
Pendant cinq jours, les participants se sont réunis à l'Auberge de jeunesse de La Plante à Namur. En fon...