
Police, la réforme tentaculaire
En mai 1998, soit un mois tout juste après l’évasion de Marc Dutroux, huit partis — majorité et opposition — concluent ensemble et rapidement une grande réforme de la police belge : fin de la gendarmerie, création d’une police à deux niveaux, organisée en zones. L’urgence fait-elle la bonne réforme ? Pas toujours mais, ici, «on a fait un énorme pas en avant», souligne Louis Tobback, ministre de l’Intérieur à l’époque. Vingt-sept ans plus tard, trois bourgmestres de trois grandes zones de police (Liège, Schaerbeek, Woluwe-Saint-Lambert) restent convaincus de la pertinence du modèle.

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