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Regard critique · Justice sociale

Vie associative

La Wallonie prend les devants

Depuis le début de la législature, Maxime Prévot, le ministre wallon de la Santé et de l’Action sociale, a décidé de mettre en pratique la Charte associative, sans attendre l’accord de coopération qui doit être pris entre les gouvernements concernés.

23-03-2016
Les associations seraient la voie du milieu. Mais pour obtenir une Charte associative, reste à trouver le chemin le plus court...

Depuis le début de la législature, Maxime Prévot, le ministre wallon de la Santé et de l’Action sociale, a décidé de mettre en pratique la Charte associative, sans attendre l’accord de coopération qui doit être pris entre les gouvernements concernés.
«La charte est indispensable pour permettre aux entrepreneurs des secteurs sociaux et des services non marchands de développer leurs activités dans un climat de confiance vis-à-vis de l’autorité politique et publique. Notre responsabilité politique en matière d’emplois, de simplification administrative ou d’égalité et de légalité de traitement est aussi importante que pour les autres secteurs qui participent au développement économique», considère le ministre Maxime Prévot. Dans cet objectif, il a décidé de simplifier le travail des associations et de leurs gestionnaires dans les secteurs de la santé et de l’action sociale, en prenant des mesures inspirées de la charte. Ce chantier avait été amorcé par Éliane Tillieux en 2014. Au niveau des subsides: les associations reçoivent désormais une avance sur leur subvention annuelle en début d’année, correspondant à 85% au plus tard le 1er mars de l’année de subvention, afin de régler le problème d’incertitude des associations concernant la liquidation des moyens financiers par l’autorité. Maxime Prévot a également commencé la transformation d’une série de conventions annuelles en convent...

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Depuis le début de la législature, Maxime Prévot, le ministre wallon de la Santé et de l’Action sociale, a décidé de mettre en pratique la Charte associative, sans attendre l’accord de coopération qui doit être pris entre les gouvernements concernés.
«La charte est indispensable pour permettre aux entrepreneurs des secteurs sociaux et des services non marchands de développer leurs activités dans un climat de confiance vis-à-vis de l’autorité politique et publique. Notre responsabilité politique en matière d’emplois, de simplification administrative ou d’égalité et de légalité de traitement est aussi importante que pour les autres secteurs qui participent au développement économique», considère le ministre Maxime Prévot. Dans cet objectif, il a décidé de simplifier le travail des associations et de leurs gestionnaires dans les secteurs de la santé et de l’action sociale, en prenant des mesures inspirées de la charte. Ce chantier avait été amorcé par Éliane Tillieux en 2014. Au niveau des subsides: les associations reçoivent désormais une avance sur leur subvention annuelle en début d’année, correspondant à 85% au plus tard le 1er mars de l’année de subvention, afin de régler le problème d’incertitude des associations concernant la liquidation des moyens financiers par l’autorité. Maxime Prévot a également commencé la transformation d’une série de conventions annuelles en convent...

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«La charte est indispensable pour permettre aux entrepreneurs des secteurs sociaux et des services non marchands de développer leurs activités dans un climat de confiance vis-à-vis de l’autorité politique et publique. Notre responsabilité politique en matière d’emplois, de simplification administrative ou d’égalité et de légalité de traitement est aussi importante que pour les autres secteurs qui participent au développement économique», considère le ministre Maxime Prévot. Dans cet objectif, il a décidé de simplifier le travail des associations et de leurs gestionnaires dans les secteurs de la santé et de l’action sociale, en prenant des mesures inspirées de la charte. Ce chantier avait été amorcé par Éliane Tillieux en 2014. Au niveau des subsides: les associations reçoivent désormais une avance sur leur subvention annuelle en début d’année, correspondant à 85% au plus tard le 1er mars de l’année de subvention, afin de régler le problème d’incertitude des associations concernant la liquidation des moyens financiers par l’autorité. Maxime Prévot a également commencé la transformation d’une série de conventions annuelles en convent...

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Manon Legrand

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