Dans une série d’articles signés par Eric Walravens, nous vous proposons un parcours en quatre étapes à travers différents lieux où la masculinité contemporaine est en travail, depuis les recoins obscurs de Tik Tok jusqu’au fond des Ardennes pour un stage de « masculinité sacrée» .
Dans le mâlegorithme
Les contenus testostéronés pullulent sur les réseaux. Être un homme, selon les standards de Tik Tok, se mesure à la taille des pectos et du compte en banque. Parfois, aussi, au contrôle exercé sur les femmes. Combien de likes faut-il à un jeune Belge pour être plongé dans la manosphère ? Peu.
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Bagarreurs, indisciplinés, à risque ? Outre-Manche, le fatalisme sur les garçons et les hommes est passé de mode
«Boys will be boys» . L’expression anglaise renvoie à l’inclinaison des mâles pour la bagarre. Elle témoigne d’un fatalisme bien ancré: décrochage scolaire, violence et comportements à risques semblent parfois tenus pour des faits masculins naturels. Pourtant, depuis quelques années, l’idée qu’il faut «prendre au sérieux» les problèmes des garçons et des hommes progresse Outre-Manche.
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La «masculinité sacrée», caricature ou chemin d’émancipation ?
Devenir un «nouveau guerrier», fier et responsable, en deux jours de week-end intensif. C’est la promesse faite par le ManKind Project (MKP) à ceux qui veulent redonner du sens à leur existence d’homme. J’ai tenté l’expérience.
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Pour se «déconstruire», les hommes doivent-ils être brusqués ?
De plus en plus d’hommes se déclarent prêts à changer leurs comportements pour devenir des alliés féministes. Oui, mais comment ? Les avis divergent.
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Cette série a été réalisée avec l’aide du Fonds pour le journalisme en Fédération Wallonie-Bruxelles