On le savait Bernard De Vos, le nouveau délégué général aux droits de l'enfant, n’est pas Claude Lelièvre. Et, s’il fallait encore s’enpersuader, il suffit de jeter un œil à son dernier rapport1 pour en trouver confirmation. Le style est direct, la méthode participative et le propos éminemmentpolitique et sans tabou. A contrario des sujets habituels dont raffolent les médias : mineurs délinquants, pédophilie, etc., le poil à gratter des droits de l'enfanta choisi pour son premier rapport thématique de parler de l’incidence de la pauvreté sur les enfants et leurs familles. Un pari osé et qui, espérons-le, ne devraitpas laisser de marbre institutions, parlementaires et autres décideurs politiques.
Parmi les missions du délégué général aux droits de l’enfant figure, en bonne place, celle d’interpeller l’opinion publique et les responsablespolitiques à propos des manquements ou des dysfonctionnements constatés en matière de respect des articles de la Convention internationale relative aux droits de l’enfant.Depuis sa création, en 1991, l’Institution n’a pas failli à son devoir même si elle est restée tr&egr...
Droits de l'enfant et pauvreté : après le super AS, le révolté sans tabou
A contrario des sujets habituels dont raffolent les médias, Bernard De Vos a choisi pour son premier rapport thématique de parler de l’incidence de la pauvreté sur lesenfants et leurs familles.
catherinem
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