#code de l’aide à la jeunesse

Allô parents bobo
Souvent pointée pour ses nombreux placements en institution, la Belgique a pourtant adopté une approche innovante en matière d’aide aux mineurs en danger ou en difficulté : éviter le recours à la justice en privilégiant le lien et la collaboration avec les parents, même maltraitants. Couplée au manque de moyens de l’aide à la jeunesse, cette approche soulève néanmoins des critiques d’un autre ordre : le maintien du lien entre l’enfant maltraité et son/ses parent(s) aux dépens sur son droit à la protection.

Fin des «time out» en IPPJ
Grèves, manifestations… Depuis 2007, le personnel des Institutions publiques de protection de la jeunesse (IPPJ) ne cesse de dénoncer le manque de personnel et de moyens mis à leur disposition pour la prendre en charge les jeunes souffrant d’un trouble ou handicap mental. Le secteur a été entendu par le Cabinet de l’Aide à la jeunesse : à partir de janvier 2019, les IPPJ n’accueilleront plus ces jeunes.