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Regard critique · Justice sociale

Santé

Réseau Santé Namur : Fermer des lits, ouvrir des portes

Cent cinq partenaires pour réussir la réforme 107. Des petites associations et de gros hôpitaux, des travailleurs de terrain de Gembloux et des médecins de Profondeville… c’est tout cela le Réseau Santé Namur. Un fil rouge pour les relier tous : la volonté de sortir les patients des institutions psychiatriques et de leur ouvrir les portes de l’aide et de la réinsertion. Le Focales n°16 y est consacré, avec les photographies de Jérôme Peraya et Karim Brikci-Nigassa, du Collectif Krasnyi.

(c)Karim Brikci-Nigassa (Collectif Krasnyi)

Cent cinq partenaires pour réussir la réforme 107. Des petites associations et de gros hôpitaux, des travailleurs de terrain de Gembloux et des médecins de Profondeville... c'est tout cela le Réseau Santé Namur. Un fil rouge pour les relier tous : la volonté de sortir les patients des institutions psychiatriques et de leur ouvrir les portes de l'aide et de la réinsertion. Le Focales n°16 (à télécharger en PDF) y est consacré, avec les photographes Jérôme Peraya et Karim Brikci-Nigassa, du Collectif Krasnyi.
Le Meccano namurois et sa boîte à outils
Le Réseau Santé Namur a démarré en 2011, avec les hôpitaux psychiatriques du Beau Vallon et de Saint-Marin comme promoteur du projet. Son objectif, comme tous les réseaux 107, est de créer des espaces de rencontre dans lesquels professionnels, usagers et proches s'interrogent ensemble sur l'offre de soins et sur l'accompagnement des usagers en santé mentale. La multiplicité des intervenants est un défi en soi. C'est comme un immense Meccano. Avec ses centaines de pièces qu'ils faut assembler pour arriver à construire quelque chose d'utile. A écouter son coordinateur Didier De Riemaecker, le Réseau Santé Namur peut paraître une énorme machine, complexe, qui pourrait être difficile à piloter mais qui fonctionne plutôt bien sur un territoire vaste et très peuplé.
(Collectif Krasnyi)
Virginie Olivier est directrice du Relais social urbain...

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Cent cinq partenaires pour réussir la réforme 107. Des petites associations et de gros hôpitaux, des travailleurs de terrain de Gembloux et des médecins de Profondeville... c'est tout cela le Réseau Santé Namur. Un fil rouge pour les relier tous : la volonté de sortir les patients des institutions psychiatriques et de leur ouvrir les portes de l'aide et de la réinsertion. Le Focales n°16 (à télécharger en PDF) y est consacré, avec les photographes Jérôme Peraya et Karim Brikci-Nigassa, du Collectif Krasnyi.
Le Meccano namurois et sa boîte à outils
Le Réseau Santé Namur a démarré en 2011, avec les hôpitaux psychiatriques du Beau Vallon et de Saint-Marin comme promoteur du projet. Son objectif, comme tous les réseaux 107, est de créer des espaces de rencontre dans lesquels professionnels, usagers et proches s'interrogent ensemble sur l'offre de soins et sur l'accompagnement des usagers en santé mentale. La multiplicité des intervenants est un défi en soi. C'est comme un immense Meccano. Avec ses centaines de pièces qu'ils faut assembler pour arriver à construire quelque chose d'utile. A écouter son coordinateur Didier De Riemaecker, le Réseau Santé Namur peut paraître une énorme machine, complexe, qui pourrait être difficile à piloter mais qui fonctionne plutôt bien sur un territoire vaste et très peuplé.
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Martine Vandemeulebroucke

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