Mis en place depuis 2013, Pens(i)onsQuartier se développe dans la capitale pour créer des réseaux de voisins dévoués à l’entraide, notamment auprès des seniors.
«Il n’y a pas de permanence?», s’inquiète Dominique, en ne voyant pas Jean-Louis, le coordinateur d’une des quatre antennes du projet Pens(i)onsQuartier, celle installée rue Van Artevelde, en plein centre de Bruxelles. Depuis quatre mois, Dominique participe à cette initiative. Chaque jeudi, entre 14 et 16 heures, elle retrouve les autres bénévoles. «C’est l’occasion de se connaître dans le quartier, mais surtout de pouvoir aider les personnes seules qui ont besoin d’aide ou de compagnie», explique-t-elle. «Avec l’âge, je me rends compte que, tôt ou tard, j’aurai aussi besoin d’un coup de main d’un voisin, ne serait-ce que pour m’aider pour mon ordinateur», poursuit-elle.
C’est tout l’objectif de Pens(i)onsQuartier qui met en contact des personnes seules, âgées ou handicapées, ayant besoin d’un coup de main pour une course, un trajet ou encore un peu de réconfort, avec des personnes qui souhaitent aider les habitants de leur quartier.
«Avec l’âge, je me rends compte que, tôt ou tard, j’aurai aussi besoin d’un coup de main d’un voisin, ne serait-ce que pour m’aider pour mon ordinateur.» Dominique, bénévole
«Les participants s’engagent à se soutenir mutuellement, sur une base de réciprocité: quelqu’un qui demande de l’aid...
La suite de cet article est réservé à nos abonnés
Abonnez-vous et accédez à l'intégralité de nos contenus et archives en ligne
Déjà abonné ?
Mis en place depuis 2013, Pens(i)onsQuartier se développe dans la capitale pour créer des réseaux de voisins dévoués à l’entraide, notamment auprès des seniors.
«Il n’y a pas de permanence?», s’inquiète Dominique, en ne voyant pas Jean-Louis, le coordinateur d’une des quatre antennes du projet Pens(i)onsQuartier, celle installée rue Van Artevelde, en plein centre de Bruxelles. Depuis quatre mois, Dominique participe à cette initiative. Chaque jeudi, entre 14 et 16 heures, elle retrouve les autres bénévoles. «C’est l’occasion de se connaître dans le quartier, mais surtout de pouvoir aider les personnes seules qui ont besoin d’aide ou de compagnie», explique-t-elle. «Avec l’âge, je me rends compte que, tôt ou tard, j’aurai aussi besoin d’un coup de main d’un voisin, ne serait-ce que pour m’aider pour mon ordinateur», poursuit-elle.
C’est tout l’objectif de Pens(i)onsQuartier qui met en contact des personnes seules, âgées ou handicapées, ayant besoin d’un coup de main pour une course, un trajet ou encore un peu de réconfort, avec des personnes qui souhaitent aider les habitants de leur quartier.
«Avec l’âge, je me rends compte que, tôt ou tard, j’aurai aussi besoin d’un coup de main d’un voisin, ne serait-ce que pour m’aider pour mon ordinateur.» Dominique, bénévole
«Les participants s’engagent à se soutenir mutuellement, sur une base de réciprocité: quelqu’un qui demande de l’aid...
La suite de cet article est réservé à nos abonnés
Abonnez-vous et accédez à l'intégralité de nos contenus et archives en ligne
Déjà abonné ?
En savoir plus
Mis en place depuis 2013, Pens(i)onsQuartier se développe dans la capitale pour créer des réseaux de voisins dévoués à l’entraide, notamment auprès des seniors.
«Il n’y a pas de permanence?», s’inquiète Dominique, en ne voyant pas Jean-Louis, le coordinateur d’une des quatre antennes du projet Pens(i)onsQuartier, celle installée rue Van Artevelde, en plein centre de Bruxelles. Depuis quatre mois, Dominique participe à cette initiative. Chaque jeudi, entre 14 et 16 heures, elle retrouve les autres bénévoles. «C’est l’occasion de se connaître dans le quartier, mais surtout de pouvoir aider les personnes seules qui ont besoin d’aide ou de compagnie», explique-t-elle. «Avec l’âge, je me rends compte que, tôt ou tard, j’aurai aussi besoin d’un coup de main d’un voisin, ne serait-ce que pour m’aider pour mon ordinateur», poursuit-elle.
C’est tout l’objectif de Pens(i)onsQuartier qui met en contact des personnes seules, âgées ou handicapées, ayant besoin d’un coup de main pour une course, un trajet ou encore un peu de réconfort, avec des personnes qui souhaitent aider les habitants de leur quartier.
«Avec l’âge, je me rends compte que, tôt ou tard, j’aurai aussi besoin d’un coup de main d’un voisin, ne serait-ce que pour m’aider pour mon ordinateur.» Dominique, bénévole
«Les participants s’engagent à se soutenir mutuellement, sur une base de réciprocité: quelqu’un qui demande de l’aid...