Quand nous avons commencé à dénouer les fils « mobilité » de l’actualité sociale, nous n’imaginions pas à ce point devoir faire évoluer notre regard.
Les réponses sociales mobilisées face aux problèmes brouillent les pistes. Pour une bonne partie de la population, la mobilité fragilise au lieu d’ouvrir de nouvelles portes. Elle n’est pas souhaitable en soi.
Logement, jeunesse, action sociale, emploi, territoires : partout se posent les question de mobilité – pas seulement au sens physique du terme -, et les regarder en termes de droits ou d’injustices ouvre à d’autres questions, d’autre débats, d’autres politiques.
Crash-test : épreuve des faits. Jamais un luxe!