L’Interfédération de l’Aide à la jeunesse1 se plaint une fois de plus du « manque de volonté de dialogue » de sa ministre CatherineFonck2. En cause, le retard dans l’affectation d’un budget supplémentaire pour renforcer l’encadrement des services d’accueil. Pas certain, pourtant, que l’Interfédé tire sur la bonne cible…
L'Interfédération des services agréés de l'Aide à la jeunesse en Communauté française (Ifaj) n’est pas contente et tient à le faire savoir. L’objet de son courroux concerne l’affectation du fameux « bonus » d’1,5 million d’euros promis au secteur depuis un an par la ministre de l’Enfance et de l’Aide à la jeunesse, Catherine Fonck. Une première salve de négociations (tendues) avait concerné la répartition des budgets, l’Interfédé souhaitant qu’ils servent à renforcer l’encadrement dans les centres d'orientation éducative (COE), dans les services d'accueil et d'aide éducative (SAAE), et dans les services de placement familial (SPF). Pour maximiser le budget, en principe récurrent, il était prévu de passer par des emplois régionaux (APE). La ministre avait, elle, souhaité que les services d'accueil spécialisé de la petite enfance (Saspe) fassent également partie du lot. Après de nouveaux rounds de négociation, une note technique de répartition arrivait enfin sur la table, à la fin de l’été 2008, mettant bon gré, malgré tout le monde d’accord. Mais depuis, ça pati...
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L’Interfédération de l’Aide à la jeunesse1 se plaint une fois de plus du « manque de volonté de dialogue » de sa ministre CatherineFonck2. En cause, le retard dans l’affectation d’un budget supplémentaire pour renforcer l’encadrement des services d’accueil. Pas certain, pourtant, que l’Interfédé tire sur la bonne cible…
L'Interfédération des services agréés de l'Aide à la jeunesse en Communauté française (Ifaj) n’est pas contente et tient à le faire savoir. L’objet de son courroux concerne l’affectation du fameux « bonus » d’1,5 million d’euros promis au secteur depuis un an par la ministre de l’Enfance et de l’Aide à la jeunesse, Catherine Fonck. Une première salve de négociations (tendues) avait concerné la répartition des budgets, l’Interfédé souhaitant qu’ils servent à renforcer l’encadrement dans les centres d'orientation éducative (COE), dans les services d'accueil et d'aide éducative (SAAE), et dans les services de placement familial (SPF). Pour maximiser le budget, en principe récurrent, il était prévu de passer par des emplois régionaux (APE). La ministre avait, elle, souhaité que les services d'accueil spécialisé de la petite enfance (Saspe) fassent également partie du lot. Après de nouveaux rounds de négociation, une note technique de répartition arrivait enfin sur la table, à la fin de l’été 2008, mettant bon gré, malgré tout le monde d’accord. Mais depuis, ça pati...