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Le retour du placard
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?
Vers un secteur social-santé « LGBTQIA+ friendly » ?
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?
Des refuges pour jeunes LGBT: une priorité?
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?
Les guerrières d’Yser
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?
Du sofa à la rue: le sans-abrisme caché des LGBT
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?
LGTB, le coming-out du social
Loin du cliché de l’homme gay, blanc, issu de la classe moyenne et vivant en ville, les personnes LGBTQIA+ sont en fait plus à risque de basculer dans la (grande) précarité. Est-ce aux structures LGBTQIA+ d’intégrer davantage les questions sociales ou au secteur social-santé de devenir davantage «LGBTQIA+ friendly»?
«Ce job, c’était mon rêve!»
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
«Il arrive qu’il y ait des aventures»
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Formuler ses propres besoins
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Services de logements supervisés: des colocs comme les autres
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Des agendas bien remplis
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
Désamorcer les conflits
Habiter seul ou en colocation quand on a une déficience mentale, c’est possible. En Wallonie, seize SLS (services de logements supervisés) permettent à des personnes avec un handicap intellectuel de vivre hors institution. Celles et ceux qui n’ont pas besoin d’une assistance en continu peuvent ainsi vivre leur vie en toute autonomie. Et dans la joie.
