La législature se termine. Dans sa newsletter, Évelyne Huytebroeck, ministre de l'Aide à la jeunesse, propose un « coup d’œil dans le rétro ». Alter Échos l'a prise au mot et a demandé à quatre acteurs clés du secteur de dresser leur bilan des cinq ans écoulés.
Une législature qui se termine et c'est l'heure des bilans. Évelyne Huytebroeck (Ecolo), la ministre bruxelloise de l'Aide à la jeunesse, a discrètement proposé, dans sa newsletter, il y a près de deux mois, un petit « coup d’œil dans le rétro ». Une discrétion de mise pour une fin d'exercice périlleuse, faite de grèves et de protestations dans un secteur chauffé à blanc. Les conseillers et directeurs de l'aide à la jeunesse réclamaient plus de moyens. Pour eux, mais aussi pour les services agréés de l'aide à la jeunesse qui accueillent, suivent et prennent en charge ces mineurs en danger.
Le refinancement du secteur, un débat délicat. Dans son propre bilan, intitulé « des réponses plus cohérentes, plus nombreuses et plus adaptées en aide à la jeunesse », Évelyne Huytebroeck met justement en avant son action en la matière à travers son « plan de renforcement du secteur ». C'est d'ailleurs sa « ligne de force » numéro 1. Elle évoque la « capacité supplémentaire de 650 prises en charge », ainsi que les 41,5 équivalents temps plein au sein des services de l'aide à la jeunesse (SAJ) et des service de protection judiciaire (S...
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La législature se termine. Dans sa newsletter, Évelyne Huytebroeck, ministre de l'Aide à la jeunesse, propose un « coup d’œil dans le rétro ». Alter Échos l'a prise au mot et a demandé à quatre acteurs clés du secteur de dresser leur bilan des cinq ans écoulés.
Une législature qui se termine et c'est l'heure des bilans. Évelyne Huytebroeck (Ecolo), la ministre bruxelloise de l'Aide à la jeunesse, a discrètement proposé, dans sa newsletter, il y a près de deux mois, un petit « coup d’œil dans le rétro ». Une discrétion de mise pour une fin d'exercice périlleuse, faite de grèves et de protestations dans un secteur chauffé à blanc. Les conseillers et directeurs de l'aide à la jeunesse réclamaient plus de moyens. Pour eux, mais aussi pour les services agréés de l'aide à la jeunesse qui accueillent, suivent et prennent en charge ces mineurs en danger.
Le refinancement du secteur, un débat délicat. Dans son propre bilan, intitulé « des réponses plus cohérentes, plus nombreuses et plus adaptées en aide à la jeunesse », Évelyne Huytebroeck met justement en avant son action en la matière à travers son « plan de renforcement du secteur ». C'est d'ailleurs sa « ligne de force » numéro 1. Elle évoque la « capacité supplémentaire de 650 prises en charge », ainsi que les 41,5 équivalents temps plein au sein des services de l'aide à la jeunesse (SAJ) et des service de protection judiciaire (S...