Le Centre culturel de Sambreville, en partenariat avec le CPAS, vient de réaliser un documentaire sur la vie dans les cités de Sambreville vue à travers les yeux et les motsd’une trentaine de femmes qui y élèvent seules leurs enfants1. Découpé en cinq parties à l’image de ses cités - celle deKeumiée, Seuris à Auvelais, les Bachères à Tamines, le Poncia à Moignelée, les Minrias à Falisolle, - le film Cités-mères alterneles paroles des mères et les images grises de ses quartiers abandonnés.
Le projet d’Anne-Marie Lateur, animatrice au Centre culturel, est fondé sur un constat : « Après plusieurs années de travail de proximité avec lespopulations des cités, nous ne pouvons que constater que les valeurs éducatives se perdent. Les mamans essaient vainement de faire passer des valeurs chez leurs enfants, ce quisème chez elles la détresse. Malgré leurs efforts pour faire de leur mieux, parfois cela dérape. » En l’absence des pères, la réalisatriceaimerait « que ces mères deviennent des maires ».
Qu’elles s’appellent Nadia, Cindy, Nancy, Paola, Christine, Laetitia ou Perilan, aucune de ces femmes n&...
Archives
Un film tourné au cœur des « Cités-mères » de Sambreville.
Le Centre culturel de Sambreville, en partenariat avec le CPAS, vient de réaliser un documentaire sur la vie dans les cités de Sambreville vue à travers les yeux et les motsd’une trentaine de femmes qui y élèvent seules leurs enfants1. Découpé en cinq parties à l’image de ses cités – celle deKeumiée, Seuris à Auvelais, les Bachères à Tamines, le Poncia à Moignelée, les Minrias à Falisolle, – le film Cités-mères alterneles paroles des mères et les images grises de ses quartiers abandonnés.

chantal
Pssstt, visiteur, visiteuse du site d'Alter Échos !
Sur le même sujet
Les plus consultés
- Le cycliste urbain, ce privilégié
- La Wallonie à vélo, un tour d’errance
- Dans le milieu gay, les violences sexuelles sortent du placard
- Quand les femmes trinquent
- Se retrouver entre jeunes dépendants
- Famille monoparentale : «un certain ‘traditionalisme’, lié à une forte inégalité de genre»
- CPAS : une réforme pour changer de logiciel